Pouvoir : les génies invisibles de la cité

À propos

Qu'est-ce que le pouvoir ? Quels principes le fondent, l'organisent et le perpétuent ? Pourquoi les sociétés, en dépit des mouvements qui périodiquement les secouent - révoltes, révolutions -, retrouvent-elles toujours ordre et harmonie ? Quels liens mystérieux tiennent soudés les groupes humains ?

Avec Pouvoir. Les Génies invisibles de la Cité, Guglielmo Ferrero a donné au XXe siècle son classique de la philosophie politique.


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Sommaire

I. « Et à la fin, un jour, un éclair... »
II. Les génies de la Cité
III. Les quatre principes de légitimité
IV. Réflexions sur la peur,
le progrès et la civilisation
V. La peur de Bonaparte
VI. Le Génie de l'Ancien Régime et le Génie de la Révolution
VII. Un tournant décisif de l'histoire
VIII. La première journée de l'Apocalypse révolutionnaire : 14 juillet 1789
IX. L'insomnie du monde (1814-1914)
X. Légitimité et prélégitimité
XI. La monarchie légitime
XII. La démocratie légitime.
XIII. Le gouvernement révolutionnaire
XIV. De la quasi-légitimité
XV. Les catastrophes de la quasi-légitimité (France, 1848 - Italie, 1915)
XVI. Pouvoir (passé, présent, futur)

Rayons : Sciences humaines & sociales > Philosophie > Philosophie moderne


  • Auteur(s)

    Guglielmo Ferrero

  • Éditeur

    Belles Lettres

  • Distributeur

    Belles Lettres

  • Date de parution

    10/05/2024

  • Collection

    Le Gout Des Idees

  • EAN

    9782251453378

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    448 Pages

  • Longueur

    19.1 cm

  • Largeur

    12.5 cm

  • Épaisseur

    2.5 cm

  • Poids

    438 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Guglielmo Ferrero

  • Naissance : 1-1-1871
  • Age : 153 ans
  • Pays : Italie
  • Langue : Italien

Né à Portici en Italie en 1871, Guglielmo Ferrero est mort au mont Pèlerin, près de Genève, en 1942. il avait publié entre 1901 et 1907 une grande histoire de Rome en plusieurs volumes qui le rendit célèbre. Farouchement opposé au fascisme, il dut s'exiler en Suisse où l'université de Genève lui offrit la chaire d'histoire de la Révolution française. Des cours qu'il donna à cette occasion, il fera la matière de deux volumes, Bonaparte en Italie (1936) et Talleyrand à Vienne (1940), qui ne sont pas seulement de grandes études historiques, mais qui proposent en outre une réflexion personnelle profonde sur les tragédies du XXe siècle.

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