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Romans & Nouvelles
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Ce roman est l'un des livres fondateurs de la littérature haïtienne.
Un village pauvre, en proie à la sécheresse, des rivalités entre habitants, des désirs de vengeance, constituent le cadre de ce drame de l'amour et du courage. Une belle leçon de dignité humaine et un chant d'amour pour le peuple de Haïti.
Jacques Roumain a écrit un livre qui est peut-être unique dans la littérature mondiale parce qu'il est sans réserve le livre de l'amour.
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Vous trouvez qu'il se passe des choses étranges à La Réunion ? Rien d'étonnant à cela ! Dans cette enquête, vous incarnez un jeune journaliste lancé sur la piste d'un ovni aperçu à la Plaine des Cafres. Faites les bons choix, récoltez les indices, devenez acteur de votre lecture, pour faire progresser votre enquête jusqu'à la révélation finale ! Plus les découvertes s'enchaînent et plus la tension monte. Mais prenez garde aux fausses pistes et aux pièges qui vous sont tendus. Bonne chance !
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Il y a cent ans, ou presque.
Un homme, un peu rebouteux, un peu charlatan, arpente les routes poussiéreuses de la colonie Réunion, dans le sud de l'océan Indien.
C'est alors un pays pauvre, et crédule.
Le rebouteux, qui se fait appeler Saint-Ange Gardien, recrute bientôt des disciples. Comme souvent les gourous, il soumet les femmes par le sexe, les hommes par la peur, les privations, les rituels étranges et effrayants.
Commence alors le chemin terrible et sanglant d'une bande qui va faire trembler toute l'île.
Saint-Ange, en effet, ne se contente plus de gruger les braves planteurs. Il les vole. La nuit, il vient avec des complices, il entre dans les maisons, il pille les maigres biens dune population pauvre.
La magie, d'un coup, se mêle au fait-divers : comment se fait-il que les chiens n'aboient jamais, que les gens eux-mêmes, abrutis de sommeil, se réveillent la tête lourde, dans une maison vidée de ses biens ?
Saint-Ange a ses recettes, que la potinière locale rend encore plus efficaces, plus redoutables, puisque tout le monde y croit et que "la loi", représentée par les gendarmes, court en vain derrière la "Bande du Sud".
Et voici qu'un jour, tout bascule : le sang coule. Pire : le sang est recueilli. Saint-Ange, de plus en plus illuminé, veut en tirer un "sirop de cadavre" qui les rendront, lui et ses comparses, invulnérables. L'inquiétude devient terreur, jusqu'à l'expédition de trop.
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Dans un style toujours aussi percutant, concis et précis, Christoph Chabirand nous livre trois courts romans (ou longues nouvelles) qui empruntent le chemin tortueux de la mémoire. Vidar : L'histoire débute sur l'île de La Réunion. Un homme encore jeune se voit révéler par sa grand-mère ses origines et les conséquences de celles-ci. Son aïeule fut autrefois l'objet de graves sévices en raison de ses amours interdites. Victime de la bêtise et de l'intolérance, elle devint disciple de Vidar, Dieu germanique de la vengeance et du silence. Origine : relate la quête d'un métis à la recherche de ses parents. Originaire de La Réunion Il a été adopté tout bébé en métropole. Accompagné de sa jeune épouse et de leur enfant, il va découvrir, allant de surprise en surprise, l'existence d'un vieux monde créole insoupçonné et plutôt terrifiant. Géhenne : raconte l'histoire d'un enfant martyrisé par un père tyrannique qui, après moult errances, trouvera enfin sa place dans le monde, celle que son père lui refusait.
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Belles éparses
Sonia Cadet, Peggy-Loup Garbal, Céline Huet, Joyce Martial, Catherine Pinaly, Jocelyne Saura
- Orphie
- 12 Juillet 2023
- 9791029805851
Cher Journal, Deux heures du matin. Je ne veux reporter à demain notre tête-à-tête. Il me tarde de te raconter ma journée.
Excitante. Délicieusement transgressive.
Maman a été inspirée de me convaincre de l'accompagner à ce stupide mariage. Les noces de la ??lle de vagues connaissances. Une parfaite inconnue en ce qui me concerne. Un non-évènement, prévu de longue date, auquel Maman aurait dû assister avec mon père. Malheureusement, trois mois en arrière, Papa s'est esquivé avec une grue. Le mot n'est pas le mien, c'est le doux quali??catif dont Maman a??uble la petite amie de son ex-mari. Bien élevée, elle répugne à prononcer le mot putain. De la distinction, même dans l'insulte.
Naïve, Maman. Bercée par l'illusion d'une union éternelle, que seul Dieu pouvait défaire, elle s'est complu dans le rôle de Madone. Un rôle con??é par son époux, enfermé dans la croyance qu'être une mère aimante ne se conjuguait pas avec une sexualité débridée. Trente ans plus tard, au diable le conformisme moral du côté de Papa. Le démon de midi l'a entraîné entre des cuisses accueillantes. Juchée sur son piédestal, Maman n'a rien senti venir.
L'histoire de mes parents me conforte dans mes choix.
Des hommes, oui. Un homme, non. Putain quand cela me chante. Madone si je le souhaite. -
À la fin du XIXe siècle, l'île de La Réunion connaît de grands changements structuraux pour assurer le transport de l'importante production de sucre de canne. Grâce à la construction du chemin de fer et du port, l'île s'apprête à accueillir de très grands voiliers et des bateaux à vapeur gigantesques. La vie au domaine sucrier de Belvédère s'adapte à ce progrès. Clémentine, ravissante et impertinente fille de Valentin Deval, y coule une existence insouciante jusqu'à ce qu'elle rencontre l'amour, mais le destin s'en mêle. Tout se bouscule alors. Secondée par Parvaty, son amie d'enfance d'origine indienne, elle doit prendre le bateau pour la lointaine Europe et affronter la réalité. Résolue à garder son statut de femme indépendante, Clémentine reviendra-t-elle dans son île, en cette année 1883 ?
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Avec Les contes de la varangue, Christoph Chabirand nous livre son septième recueil de nouvelles. Dans un style concis, épuré et sans fioritures, Christoph Chabirand nous emmène à sa suite, presque sur le ton de la confidence, dans une galerie de portraits de personnages attachants, simples, drôles, parfois inquiétants vivant tous à La Réunion. En effet, Christoph Chabirand aime à observer ses congénères, mais au-delà des apparences, il les observe en profondeur, avec parfois une plume acérée, précise et sans concession, mais aussi avec tendresse et humanité.
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Un ours sur la plage : de la quête de soi aux origines de La Réunion
Hélène Chardonnet
- Orphie
- Autour Du Monde
- 16 Avril 2022
- 9791029805127
Un manuscrit longtemps oublié, confié par son grand- père sur son lit de mort, le transporte sur la route des Indes, au coeur de l'océan Indien, puis vers l'île de La Réunion. Un pictogramme révélé guide ses pas et le promène de paysages bouleversants en rencontres atypiques au fil de l'histoire du peuplement de cette île sculptée par le feu et taillée dans le basalte. Ici tout s'écrit entre labeur, souffrance et rêve. Que faire de tant de beautés? Entre aigreurs redondantes, décep- tions infantiles et révélations familiales, un homme entre deux âges en prise avec ses héritages enquête sur l'histoire de ses origines. Anti-héros attachant et atypique contemporain et universel, Olivier Vasseurel réveille en nous le plaisir des conquêtes de soi.
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Il existe un miracle Eudora. Ce roman est en tous points unique :
Seul ouvrage de l'auteur, réédité quatre fois depuis sa parution en livraisons successives dans La revue des deux Mondes en 1943, il accomplit et clôt le roman colonial à La Réunion en ouvrant d'autres portes. Il en reprend les leitmotivs qui sont ceux de la plantation : l'esclavage et le marronnage, l'aristocratie créole et ses malédictions, Kalla qui deviendra dans d'autres versions de l'imaginaire réunionnais grand-mère Kalle, la nature en sa flore longuement célébrée, le cyclone. Ce miracle est unique analogue au célèbre Autant en emporte le Vent. Marguerite-Hélène Mahé le conçut et le porta tout au long de sa vie d'exilée, amassant une abondante documentation historique.
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Tels des chorus de jazz, où les mots se seraient substitués aux notes, Christoph Chabirand nous livre dans ce quatrième recueil : Halloween, 40 nouvelles au style concis et épuré. Il évite les fioritures inutiles et nous emmène à sa suite, presque sur le ton de la confidence, dans une galerie de portraits de personnages attachants, simples, drôles, parfois inquiétants.
Sa plume sans concession dissèque nos âmes mais toujours avec le talent d'un observateur précis, finalement humaniste.
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Soumis aux lois d'un environnement hostile, ils se tiennent dans la zone incertaine et dangereuse où l'action des marées menace.
C'est une barque de migrants qui dérive vers un hypothétique horizon, à la merci du démon liquide. Une cantatrice étrangement obsédée par les fluides, en quête du son parfait. Une jeune fille myope perdue dans un supermarché.
Un homme qui range ses souvenirs dans des cartons de déménagement. Une écrivaine sans inspiration, emprisonnée dans un jardin truffé de bactéries.
Seize récits qui oscillent entre noirceur et dérision, où l'auteure dissèque et sonde les sinuosités de la psyché féminine, l'érosion du temps qui passe, la dégradation d'une nature fragile et corrompue.
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Extrait : Je ne pouvais me contenter d'un esprit. J'avais besoin de voir la flamme qui pétillait dans tes yeux, de te toucher, de te prendre dans mes bras, de me serrer contre toi, dans le lit. J'avais besoin de ton odeur, de la chaleur de tes caresses, de la douceur de ta peau, du chuchotement de ta voix dans mon oreille, de la tendresse de ton rire complice.
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En 1909, une série de crimes particulièrement horribles a semé la terreur dans le sud de La Réunion. Non contents de tuer leurs victimes, les criminels les égorgeaient afin de fabriquer avec leur sang un sirop censé les rendre invisibles : le « sirop de cadavre ». Ce fait-divers est resté dans les annales comme « l'affaire Sitarane », du nom d'un des protagonistes. Cent ans plus tard, des métropolitains sont assassinés selon la méthode employée par Sitarane et sa bande. La peur se répand dans l'île. La police s'interroge. S'agit-il d'une secte satanique ? D'un groupe d'illuminés s'étant donné pour mission de venger les victimes de l'esclavage ? De l'acte solitaire d'un déséquilibré ? En charge des faits-divers, Christophe Véron, un jeune journaliste fraîchement débarqué, découvre un lieu clos où l'esclavage hante toujours les mémoires et où la sorcellerie se mêle aux religions. Il perd pied peu à peu...
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Depuis février 2009, avec la collaboration de dizaines de lecteurs du journal de l'île de la réunion, collectionneurs, passionnés d'histoire et des services chargés à la réunion de la préservation de la mémoire (archives départementales et communales, iconothèque historique de l'océan indien, muséum d'histoire naturelle, etc.), Daniel Vaxelaire se promène dans les chemins de la mémoire.
Ces recueils bénéficient de l'interactivité permise par la presse : les remarques et corrections des lecteurs ont toutes été prises en compte, même s'il subsiste encore quelques énigmes ici ou là...
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A 72 ans, Nelly Barret rencontre la somato-psycho- pédagogie qui lui permet d'accéder à une meilleure compréhension d'elle-même... Le documentaire « Les Muselés de la République » présenté sur Réunion Première le 13 octobre 2013, suivi d'un débat auquel elle participe est l'étincelle qui la conduit à écrire.
« Le cahier de Nelly », c'est la trajectoire d'une jeune fille créole des années 40-50, d'une jeune militante pro-communiste et féministe, d'une mère de famille entravée par les souffrances de l'exil en France, d'une femme mûre enfin qui comprend peu à peu les ressorts de son aliénation et de celle du peuple réunionnais.
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Ce sont des femmes que la maternité obsède, dépossède ou malmène. Des hommes qu'une vie monotone a rendus avides de reconnaissance et d'accomplissements vains. Une romancière en proie au syndrome de la page blanche. Une adolescente qui, de sa morne banlieue, contemple « l'épineuse forêt où ne sommeille aucune princesse de conte ». Une mère hantée par le souvenir de sa fille bien-aimée. Une artiste-plasticienne livrée, sous l'atrium d'un musée, à sa toute dernière performance... Douze récits où sont évoqués l'exiguïté de la vie quotidienne, les liens affectifs asphyxiants, la difficulté du geste créatif et la place de l'art dans nos existences contemporaines... Autant de voix singulières et incisives qui pénètrent l'esprit du lecteur comme les morsures d'un petit animal indompté.
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Wenceslas, qui était au volant, a tout perdu. Sa femme, dans l'accident ; leur fils, qui ne lui pardonnera jamais et le fuit jusqu'à s'exiler outre-mer ; son petit-fils, désormais son unique espérance, dont l'éloignement a valeur de représailles.
Même sa raison l'a abandonné. On le voit réinventer le monde et l'actualité par le trou qu'il fait chaque jour dans son journal, derrière lequel il s'embusque et dissimule son malheur. Par ce trou, il arrive aussi qu'un enfant l'observe... -
Laissez votre imagination arpenter les différentes rives de ce recueil, vues ici comme autant d'accès à une histoire, un instant de vie particulier. Des nouvelles de La Réunion ou d'ailleurs qui mettent à l'honneur les individus et les relations entre eux à travers des moments clés de l'existence ou des rencontres, qu'elles soient amicales, amoureuses ou parfois bien plus surprenantes...
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La coque noire et effilée du Djemnah, armé pour la ligne Singapour-Japon, brillait sous le soleil blafard de février. Ils étaient là, sur le quai, adossés au mur du hangar. Le froid leur mangeait le nez et les joues. Les mains rugueuses dans les poches, la langue figée, ils piétinaient le sol gelé. Ils étaient une trentaine, agglutinés autour de leur balluchon comme des corneilles sur un arbre dénudé, le visage fermé par la gravité d'un moment décisif. Ils avaient perdu le flegme des années insouciantes et dans leur regard mobile, perçait plus d'anxiété que de vigilance et de curiosité. Ils attendaient...
Antonio s'était éloigné de ses compagnons. Il avait serré le col de son veston, posé son barda au pied d'un mât et grimpé dans les cordages. Il n'avait plus de mots mais une boule dans la gorge qui gonflait et l'étouffait. Son amour blessé. Le Djemnah avançait et s'arrachaient de lui, le Piémont, son village, sa famille, ses amis et... Marta. Marta qui ne l'aimait plus, partie avec l'autre cazzo Où était-elle ? Que faisait-elle, la puttana. Le continent reculait et derrière lui, à des milliers de kilomètres, au bout de l'immensité, se trouvait une île, française et sauvage. Une île dont il ne connaissait rien : La Réunion ; un nom sur un papier où il avait apposé sa signature...
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Saint-Denis de La Réunion, 31 décembre 1999, quelques minutes avant minuit.
Florence Leblanc, institutrice et journaliste, a boudé les festivités de « fin de siècle » et s'amuse à consulter les esprits, pour tirer de l'expérience un reportage amusant. C'est dire si elle est surprise quand quelqu'un lui répond !
C'est le début d'un long dialogue avec un personnage qui se fait nommer le Moine, et dont Florence va découvrir petit à petit qu'il n'était pas un saint.
Le Moine va aussi lui raconter - avec verve - des vies de grands témoins, ou de grands ancêtres, qui ne sont pas tous exemplaires. Comme si ce n'était pas suffisant, il donne à Florence des conseils d'habillement et de comportement avec les hommes. Parce qu'à vingt-sept ans, elle est encore célibataire..
Mais il n'y a pas que les échanges fleuris entre une jeune dame indécise et une âme errante qui gémit parfois sur le long ennui de son « ici-haut » : il y a la vraie vie, et ce drame terrible qui se noue à deux rues de chez Florence, où la folie menace. Projetée dans l'aventure, obligée d'être héroïne à son tour, Florence arrivera-t-elle à temps ?Cet ouvrage, paru en 1996 chez Flammarion, a été brillamment accueilli par la critique : Daniel Vaxelaire le considère comme son ouvrage le plus abouti. Il était devenu introuvable depuis plusieurs années et les éditions Orphie sont fières de le présenter, revu, corrigé, restitué dans sa version complète par l'auteur.
Si Vaxelaire est plus connu par ses romans, il a également écrit de nombreux essais historiques, ouvrages documentaires, livres pour la jeunesse, encyclopédies, scénarios pour la télévision, entre autres.
«Il n'y a pas de noble ou moins noble manière de raconter, aime-t-il dire :
Chaque genre peut être une fenêtre ouverte sur le rêve, et si c'est Brel qui l'a écrite, une chanson de trois minutes peut avoir autant d'impact que bien des romans de trois cents pages.»
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Le titre du dernier ouvrage de Christoph Chabirand est un clin d'oeil au patois vendéen de son enfance et au créole réunionnais ; en effet ces deux langues fourmillent de références au vieux français, au « vieil françois ».
Ainsi, il a plu à Christoph Chabirand d'exhumer cet adjectif de couleur « vair », nuance intermédiaire, qui lui rappelle la note bleue du jazz, « no man's land » fluctuant entre le mineur et le majeur.
Ces 42 nouvelles serpentent elles aussi entre le mineur et le majeur, entre le clair et l'obscur, entre l'existentiel et l'essentiel, tout comme nos vies qui oscillent entre la comédie et le drame, l'absurde et le réel, l'amour et la mort.
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Le texte parle de quoi ? Chut ! D'un secret de famille, à une époque où la charité chrétienne engageait les femmes à taire les couillonnades de leurs époux. En avance sur son temps, Madame Gino invente la Gestation Pour Autrui. Deux mamans pour un seul garçon : Maxime, le narrateur, ne sait plus à quel sein se vouer.
Madame Gino levait toujours les yeux au ciel quand elle appelait mon père à la rescousse. Il n'était plus là, mais il continuait à être présent, à épauler son ex pour notre éducation, à assurer de façon posthume sa fonction paternelle. Les yeux d'un père sans visage qui voit tout et partout, les oreilles d'un père sans visage qui entend tout, ça fiche un peu la trouille. J'avais du mal à croire à ces choses-là, mais je devais m'y résoudre : mon père était un invisible. Ce qui explique peut-être que certaines « choses » aient pu passer inaperçues.