Mon ennemi intérieur Marin est une analyse intime du rôle de l'écrivain aujourd'hui et de la place du roman noir dans notre société.
Avec La trace du héron Pascal Dessaint s'autorise un pas de côté et nous offre le récit intime et poétique de ses balades des bords de Loire et de Garonne. Une invitation à se glisser dans les méandres d'une pensée peuplée d'oiseaux et d'écrivains.
Pour son Petit Écart, Jacky Schwartzmann lève le voile sur une passion dévorante : le foot !
Mais comment ne pas passer pour un beauf' quand on est écrivain mais aussi fan de l'Olympique Lyonnais, supporter de l'équipe de France et qu'on est prêt à défoncer la cloison de son salon pour un but manqué ? Dans ce court texte, incisif, drôle et intime, l'auteur analyse son rapport au foot et nous embarque dans un essai étayé qui réhabilite ce sport avant tout populaire.
Avec "Lettre à B." Patrick Pécherot nous emmène dans le Brest occupé de la seconde guerre mondiale et choisit pour nous guider la Barbara de Jacques Prévert. Au détour de la rue de Siam, les silhouettes de Gabin et de Morgan se dessinent, la vie en rose vire au noir et blanc, la pluie tombe sur les décombres et les souvenirs s'en mêlent.
Avec États d'âme, Hervé Le Corre s'offre un détour du côté de l'au-delà ... Flirtant avec les frontières du roman noir et d'anticipation, il nous offre le récit d'une âme encore présente face à un corps sans vie. Entre décomposition et infini, cette fiction terriblement humaine nous invite à la philosophie.
Avec L'Été 64, Romain Slocombe arpente un chemin intime et nous livre sa première histoire d'amour. Sous des faux-airs de bluette, rythmée par les refrains de Françoise Hardy, il y a dans cette histoire, en creux et sous les plis de l'enfance, bien des détails qui façonnent l'auteur que l'on connaît aujourd'hui.
Pour son Petit Écart, Jean Rouaud a souhaité rassembler 5 textes dont un inédit sous le titre de Plumes et goudron. Ce titre, aux consonances western, il l'explique ainsi : « Plumes parce que c'est de l'écriture, goudron parce que c'est mettre les mains dans le cambouis, et plumes et goudrons parce qu'il y en a qui le méritent. ».Indéniablement politique, ce livre est celui d'un homme qui dit son mot sur les affaires du monde.
Pour son Petit Écart, Michel Quint lève le voile sur deux grandes passions de sa vie ... le jazz et les femmes ! Lui qui écrit par amour, nous embraque dans deux histoires : l'une au sud, l'autre au nord. La première sent le tabac froid et la terre mouillée, la seconde la glycine et l'orage d'été mais toutes deux ont en commun des femmes résolument jazz. Alors, révisez vos classiques et laissez-vous portez par ces Ladies in blues.