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Nicolas Notovitch
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La vie inconnue de jesus-christ - un autre regard sur le christ
Nicolas Notovitch
- Culturea
- 11 Novembre 2022
- 9782385089146
Jésus a-t-il passé une partie de sa vie en Inde, durant ces dix-huit années de son existence -entre 12 et 30 ans- dont la Bible ne fait aucune mention ?
Si personne à ce jour n'a jamais été en capacité de vérifier les propos de l'auteur, lui qui dit avoir vu dans un monastère Bouddhiste du Ladakh des parchemins dans lesquels le passage de Jésus en Orient est clairement mentionné, il n'en reste pas moins que la thèse défendue par Notovitch reste des plus intrigantes.
Ce sujet fit l'objet maintes fois de vives polémiques au point que la publication de l'ouvrage fut interdite à la fin du XIXe siècle par l'Église catholique. Faut-il dès lors y voir la volonté de cacher une vérité dérangeante ?
Et si les documents cités par l'auteur étaient véritables ?
Cette probabilité mérite d'autant plus d'être envisagée que d'illustres intellectuels, dont Nicolas Roerich qui fut Prix Nobel de la Paix en 1929, corroborent les propos de Notovitch et témoignent de l'existence de ces fameux parchemins. On imagine avec aisance les implications qu'une telle découverte pourraient avoir... -
Le christ de Srinagar ; la vie inconnue de Jésus-Christ en Inde et au Tibet
Nicolas Notovitch
- Le Camion Blanc
- Camion Noir
- 19 Octobre 2010
- 9782357790902
Selon certains anciens manuscrits tibétains, Jésus aurait quitté le domicile familial à treize ans et se serait joint à une caravane de marchands. Sa destination ? L'Inde et l'Himalaya... Il y serait revenu après sa « résurrection » et, au Cachemire, à Srinagar, on montre actuellement le lieu où il aurait été enterré, après avoir fondé une famille, à l'âge de cent vingt ans. Quelle confiance accorder à tout cela ? C'est à cette question que répond le livre Le Christ de Srinagar La vie inconnue de Jésus-Christ en Inde et au Tibet, qui, pour ce faire, publie une partie des pièces du débat, à savoir « l'apocryphe tibétain » et le récit de sa découverte par son inventeur, l'aventurier russe Nicolas Notovitch. Ces documents, inaccessibles depuis de très nombreuses années, sont précédés d'une introduction historique qui passe les récits de la vie indienne et tibétaine du Christ au crible de la critique, tout en les situant dans l'histoire des nouvelles formes de la spiritualité contemporaine.
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La vie inconnue de Jésus-Christ en Inde et au Tibet
Nicolas Notovitch
- Pardes
- 15 Novembre 2004
- 9782867143458
On sait, grâce aux Évangiles, que Jésus-Christ avait douze ans lorsqu'il se mêla aux docteurs de la loi juive dans le Temple de Jérusalem et qu'il en avait trente lorsqu'il fut baptisé dans les eaux du Jourdain.
En revanche, nous ne connaissons rien des dix-sept années intermédiaires de sa vie. Saint Luc nous dit qu'il " croissait en sagesse, en stature et en grâce devant Dieu et devant les hommes". Mais fit-il cela à Nazareth? Selon certains anciens manuscrits tibétains, jésus aurait quitté le domicile familial à treize ans et se serait joint à une caravane de marchands. Sa destination? L'Inde et l'Himalaya...
Ressuscité " le troisième jour" après sa mise au tombeau, les Evangiles nous apprennent que, par la suite, jésus fut "enlevé aux cieux". Pourtant, en Inde, à Srinagar, on montre la tombe où reposerait le corps du Christ, mort dans cette ville, à l'âge de cent vingt ans, après y avoir fondé une famille. Quelle confiance accorder à tout cela? Pour répondre à cette question, une partie des pièces du débat est ici publiée, à savoir l'"apocryphe tibétain" et le récit de sa découverte par son " inventeur", l'aventurier russe Nicolas Notovitch.
Inaccessibles depuis de très nombreuses années, ces documents sont précédés d'une introduction historique qui passe les récits de la vie indienne et tibétaine du Christ au crible de la critique, tout en les situant dans l'histoire des nouvelles formes de la spiritualité contemporaine et en montrant comment ils s'intègrent dans la subculture du new age et des mouvements issus de la théosophie.
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Depuis la guerre de Turquie (1877- 1878), j'ai entrepris une série de voyages en Orient. Après avoir visité toutes les localités tant soit peu remarquables de la péninsule des Balkans, je me rendis à travers le Caucase dans l'Asie Centrale et en Perse, et enfin, en 1887, je partis pour l'Inde, pays admirable qui m'attirait depuis mon enfance.
Le but de ce voyage était de connaître et d'étudier sur place les peuples qui habitent l'Inde et leurs moeurs, l'archéologie grandiose et mystérieuse et la nature colossale et pleine de majesté de ce pays. Errant sans plan arrêté d'un endroit à l'autre, je parvins jusqu'à l'Afghanistan montagneux, d'où je regagnai l'Inde par les traversées pittoresques de Bolan et de Guernaï. Puis, je remontai l'Indus jusqu'à Raval Pindi, parcourus le Pendjab, pays des cinq fleuves, visitai le temple d'or d'Amritsa, le tombeau du roi de Pendjab, Randjid- Singh, près de Lahor, et me dirigeai vers le Kachmyr, « vallée du bonheur éternel ». Là, je recommençai mes pérégrinations au gré de ma curiosité jusqu'à ce que j'arrivai au Ladak, d'où j'avais formé l'intention de revenir en Russie par le Karakoroum et le Turkestan chinois.