Morguélen. Un nom funèbre pour une île bretonne giflée par les vents. Un terrain idéal pour la lieutenante Chen, lancée dans une traque sans merci. Dans son viseur : des tueurs à gages insaisissables, les Furies, déesses du châtiment. Mais à l'heure de la rencontre, la partie pourrait bien compter plus de joueurs qu'il n'y paraît. Et quand le prêtre de cette île du bout du monde entre à son tour dans la danse, une seule certitude demeure : quelqu'un va mourir.
Du suspense, de l'humour, de l'action, La Capture contient tout cela. Nicolas Lebel s'installe durablement à la table des grands du thriller français. Bruno Corty, Le Figaro littéraire.L'auteur bouscule les codes du polar pour en faire une « littérature de l'indignation ». Sophie Berthier, Télérama.Une intrigue diabolique. Sandrine Bajos, Le Parisien.Réjouissant. Lionel Germain, Sud Ouest.
À jouer double, on perd de vue sa cibleYvonne Chen n'a pas d'amis et elle n'en veut pas : ils l'ennuient ou finissent par mourir. Lorsque, en ce 5 janvier, son téléphone sonne, elle sait donc que ce n'est pas un ami qui l'appelle.
Les Furies, ces tueurs à gages sans foi ni loi, sont de retour et leur chef Alecto propose à Chen de participer à l'une de leurs danses. Deux frères se disputent le contrôle d'un prestigieux vignoble dans les Vosges et, d'après le commanditaire anonyme, il ne doit en rester qu'un.
Chen, l'ex-flic de la Crim, aujourd'hui agent infiltré de la DGSI, accepte la mission : l'occasion rêvée pour elle de piéger enfin ces assassins. Lancée dans un jeu de faux-semblants au coeur d'un hiver glacial, Yvonne va devoir décider de quoi elle est l'instrument. La justice ou bien le châtiment ?
Tout bascule quand les fantômes du domaine s'en mêlent. Eux aussi réclament vengeance.
Un nouveau polar renversant porté par l'humour et le talent d'illusionniste de Nicolas Lebel, où chaque hypothèse du lecteur se voit pulvérisée page après page jusqu'à la révélation finale.
« Un troisième volume d'une série saupoudrée d'humour qui doit autant au polar qu'au roman d'espionnage. En cela, L'Hallali est un vrai festival. » Le Parisien Week-End « Nicolas Lebel joue à nouveau les illusionnistes en prenant un malin plaisir à déboulonner les intuitions du lecteur et infirmer ses hypothèses jusqu'à là révélation finale. Efficace ! » Les Echos
La journée du commissaire Paul Starski commence assez mal : une prise d'otages l'attend dans un appartement parisien. Arrivé sur place avec sa coéquipière, la glaciale et pragmatique Yvonne Chen, il découvre les corps d'un flic à la dérive et d'un homme d'affaires sud-africain. Tous les indices accusent Chloé de Talense, une brillante biologiste. Et amour de jeunesse de Starski, qui prend l'enquête à bras le corps - et certainement trop à coeur -, tandis que les meurtres se multiplient. Car l'étau se resserre autour de Chloé. Elle semble être le gibier d'une chasse à courre sanglante lancée à travers la capitale.Un polar habilement ficelé, qui nous replonge dans les années sombres de l'Afrique du Sud et nous tient en haleine jusqu'au bout. Alexandra Schwartzbrod, Libération.Effets de style, gags, rire, action, politique et Histoire : ce roman policier est une réussite carabinée. Hubert Artus, Le Parisien week-end.
« Il n'y eut pas un bruit dans la rue désolée, dans la ville morte, et pourtant elle sut que quelqu'un, quelque chose était là, qui l'épiait, vorace et concupiscent, avide, alors son coeur détona et elle se mit à courir, son haleine se mêlant à la brume épaisse qui accrochait son corps, ses vêtements, ses cheveux, qui collait à sa vie, la freinait, l'empêchait de fuir ce cauchemar éveillé. Elle hurla dans sa course impossible car quelqu'un, quelque chose était là qui la talonnait, s'enivrait de sa terreur, en voulait à sa vie. » Paris, XIIe arrondissement. Une étudiante disparaît. À travers la ville engluée dans une brume épaisse, le capitaine Mehrlicht et son équipe mènent une course contre la montre pour retrouver celui qui sème derrière lui des cadavres exsangues.Une double intrigue et des personnages bien dessinés. Des enquêtes passionnantes. Jean-Noël Levavasseur, Ouest France.
Paris. Un sans-abri est poignardé à mort sur une voie ferrée de la gare de Lyon. « Vous me réglez ça. Rapide et propre, qu'on n'y passe pas Noël », ordonne le commissaire au capitaine Mehrlicht et à son équipe, le lieutenant Dossantos, exalté du code pénal et du bon droit, le lieutenant Sophie Latour qui panique dans les flash mobs, et le lieutenant stagiaire Ménard, souffre-douleur du capitaine à tête de grenouille, amateur de sudoku et de répliques d'Audiard.
Mais ce qui s'annonçait comme un simple règlement de comptes entre SDF se complique une fois le cadavre identifié. L'affaire entraîne le groupe d'enquêteurs dans les méandres de la Jungle, nouvelle cour des miracles au coeur du bois de Vincennes, dans le dédale de l'illustre Sorbonne, jusqu'aux arrière-cours des troquets parisiens, pour s'achever en une course contre la montre dans les rues de la capitale. Il leur faut à tout prix empêcher que ne sonne l'heure des fous.
Paris, à la Toussaint. Le capitaine Mehrlicht, les lieutenants Dossantos et Latour sont appelés à l'hôpital Saint-Antoine, où un patient vient d'être empoisonné. Le lendemain, c'est une famille entière qui est retrouvée sans vie dans un appartement des Champs-Élysées. Puis un couple de retraités à Courbevoie...
Tandis que les cadavres s'empilent, la France a peur de celle que l'on surnomme bientôt l'Empoisonneuse. Les médias s'enflamment et la police tarde à arrêter la coupable. Qui est cette jeune femme que de nombreux témoins ont croisée et que chacun semble reconnaître ? Qui sera la prochaine victime ?La chasse aux sorcières s'organise. Mais derrière l'Empoisonneuse, c'est la Mort elle-même qui est à l'oeuvre, patiente et inexorable : nul ne lui échappera.Une lecture qui devrait passionner les lecteurs avides d'histoire et d'enquêtes minutieuses. Elle.Un vrai bon roman policier ! Librairie Molière (Charleroi).
Paris, à quelques jours du dimanche de Pâques. Un homme d'une soixantaine d'années est retrouvé assassiné dans un pub, une balle dans chaque genou, une troisième dans le front. L'autopsie révèle sur son corps une fresque d'entrelacs celtiques et de slogans nationalistes nord-irlandais. Trois lettres barrent le haut de son dos : IRA. Le capitaine Mehrlicht fait la grimace. Enquêter sur un groupe terroriste en plein état d'urgence ne va pas être une partie de plaisir. Pourtant, le conflit irlandais semble bien s'inviter à Paris...
Nicolas Lebel nous entraîne sur la piste d'un tueur pyromane, un monstre né il y a plus de quarante ans au coeur des violences de la guerre civile, qui vient rallumer les feux de la discorde dans les rues de la capitale française.
Une lecture anxiogène. Les fans du capitaine Mehrlicht vont se régaler. Khadija Moussou, Elle.
Un roman qui a de la profondeur, où les protagonistes sont creusés. Jacques Teissier, Mediapart.
9 novembre. Le capitaine Mehrlicht assiste aux obsèques de son ami Jacques Morel. Quelques heures plus tard, un notaire parisien lui remet une enveloppe contenant un diamant brut : l'oeil d'une statue dérobée au musée des Arts d'Afrique et d'Océanie dix ans plus tôt.
De leur côté, les lieutenants Latour et Dossantos sont appelés pour constater un suicide, puis assistent à la défenestration d'une femme qui avait réclamé la protection de la police. Les deux victimes avaient un point commun : elles travaillaient ensemble au musée.
La chasse au trésor organisée par Jacques vire alors au cauchemar. Que cherchent ces anciens légionnaires, qui apportent la guerre à Paris dans un jeu de piste sanglant jalonné de cadavres ? Mehrlicht et son équipe ont quarante-huit heures pour boucler cette enquête sous haute tension, dans laquelle bouillonnent la fureur et les échos des conflits qui bouleversent le monde en ce début de xxie siècle.
Trente ans après la chute de l'apartheid, les Furies, déesses du châtiment, viennent à Paris initier leur danse macabre. Qui sont-elles venues venger ?
La journée du commissaire Paul Starski commence assez mal : son épouse demande le divorce, son chien adoré est mourant et une prise d'otages l'attend dans un appartement parisien. L'âme morose, il se rend sur place avec sa coéquipière, la glaciale et pragmatique Yvonne Chen, et découvre les corps d'un flic à la dérive et d'un homme d'affaires sud-africain. Tous les indices accusent Chloé de Talense, une brillante biologiste. Starski n'ose y croire : Chloé était son grand amour de jeunesse. Afin de prouver son innocence, le commissaire prend l'enquête à bras le corps - et certainement trop à coeur -, tandis que les meurtres se multiplient. Car l'étau se resserre autour de la biologiste qui semble être le gibier d'une chasse à courre sanglante lancée à travers la capitale. Starski prend peu à peu conscience que rien n'arrêtera les tueurs. Pire, qu'à fureter au-delà des évidences, il vient peut-être lui-même d'entrer dans la Danse des Furies...
« Superbement maîtrisé. » Hubert Artus, Le Parisien Week-End « Le Gibier est un thriller complètement abracadabrantesque et addictif, joueur et roublard. Enfin et non des moindres : le duo de flic épate. » La Marseillaise « Avec Le Gibier Nicolas Lebel se réinvente en David Fincher du polar. Son nouveau roman déroule une mécanique froide et implacable dont il est difficile de s'extraire tellement il nous happe. Qui est le gibier ? Le lecteur assurément. » La Fringale Culturelle « Nicolas Lebel a l'art de tisser les intrigues à tiroirs, complexes à souhait, pour que son lecteur ne puisse jamais se convaincre tout à fait d'en avoir déroulé tous les fils. » Le Progrès « Une fois pris dans les filets de son histoire, impossible de m'échapper. Chaque lecteur devient la proie de ce polar brillant et captivant. » 20 Minutes « C'est un roman qui est tendu, qui est efficace, qui est parfois très drôle et qui nous mène littéralement par le bout du nez. » France Info « Le Gibier, la proie n'est pas celle que vous croyez. Dans un polar habilement ficelé et efficace, Nicolas Lebel met en scène la figure classique du flic cabossé par la vie. » Libération
Quand on propose à l'embaumeur de participer à un projet de plastination, il faut s'attendre à un refus.
Un défunt, ça se respecte, ça n'exhibe pas !
Le souci c'est que dans la vie on ne fait pas toujours ce que l'on veut, Mandoline va devoir rentrer dans le délire d'un mégalo morbide et tenter de comprendre un trafic de cadavres...
Norik, conteur vagabond, arrive dans un village un jour de foire, et commence à raconter l'histoire oubliée du Royaume de Lorn. La magie de ses mots opère, et son auditoire se voit transporter à travers l'espace et le temps au commencement de leur histoire, en une époque trouble et sanglante. « Des cornes et des crocs, des croûtes et des piques, Des monstres de l'enfer se ruent sur le château. Grognant et rugissant, ils chargent en troupeau, Toute vie détruisant de leurs pieux maléfiques. Des cornes et des crocs, des croûtes et des piques, Des skerns, maudits cornus, ont l'humeur à la mort Sous les plaies, les bubons, c'est l'âme qui se tord De ces bêtes de pus aux relents méphitiques [.] ».