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Jeune escroc ambitieux, Tchitchikov débarque dans la ville de N. Charmeur, drôle, attentionné, il séduit bien vite les notables locaux par ses bonnes manières et son entregent. Mais tout change quand il leur fait une curieuse proposition : il veut acheter leurs morts. Car les propriétaires terriens doivent payer un impôt pour leurs serfs, y compris ceux qui sont morts dans les cinq dernières années. Le héros compte placer ces «âmes mortes» sur un terrain fictif qu'il pourra hypothéquer à la banque. Cette combine pourrait lui rapporter gros... et cet étrange marché met la ville de N. en émoi. Comédie noire, le roman dénonce toutes les tares de l'Empire russe : la corruption des élites et la misère des masses. Paru en 1842, il fait immédiatement scandale. Avec cette farce absurde, véritable odyssée de la bassesse, Gogol pointe la médiocrité de l'âme humaine. De la vieille propriétaire avare à l'alcoolique obsédé par le jeu, des notables stupides aux fonctionnaires véreux, il dresse une terrible galerie de portraits de la noblesse russe. Les véritables âmes mortes, ce sont bien eux.
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Nouvelles de Pétersbourg ; le journal d'un fou ; le nez ; autres nouvelles
Nicolas Gogol
- Folio
- Folio
- 1 Octobre 1998
- 9782070406227
On aura beau jeu de se moquer du pauvre Akaki Akakievitch, qui fonde tant d'espoirs sur son nouveau manteau : chez Gogol la médiocrité est une tentation irrésistible, que même le fantastique échoue à surmonter. Un nez émancipé de son propriétaire, quoi de plus fou ! Si volontaire que soit cet organe, il n'échappera pourtant pas au rêve partagé par le choeur des fonctionnaires de toute la Russie : devenir conseiller d'État... Mais la sincérité, souvent touchante, de ces légions d'hommes obstinés à rêver d'ordinaire peut se muer en fanatisme de la banalité. Le héros du «Portrait», adepte du culte du réel, poursuivra ainsi de sa haine toute trace de beauté, ravageant frénétiquement les oeuvres d'art qu'il se procure. Alors que la normalité étend son empire insensé sur Pétersbourg et le reste du monde, il n'y aura plus que le fou pour poser la seule question qui vaille : «Je ne comprends pas comment j'ai pu penser, m'imaginer que j'étais conseiller titulaire. Comment cette pensée extravagante a-t-elle pu pénétrer dans mon cerveau ?» Cinq nouvelles, cinq chefs-d'oeuvre grinçants où l'humour noir côtoie le fantastique.
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Près de dévorer son pain, un barbier y découvre un nez. L'aurait-il coupé par
inadvertance à quelqu'un ? Mieux vaut en tout cas ne pas laisser de preuve. Il s'empresse
de le jeter dans la rivière. Or, un commandant, qui plus est conseiller d'Etat, se réveille un
matin privé de nez. Soudain, il aperçoit le fugitif dans un carrosse qui sillonne la ville. Ledit
fugitif porte un costume brodé d'or, semblable à celui d'un haut fonctionnaire... Serait-ce là
l'oeuvre du diable ? L'inquiétude gagne le propriétaire et, avec lui, le lecteur. Sous la
description lucide de la vie des hommes d'Etat, le cauchemar étend son emprise sur le
réel. L'humour corrosif de Gogol bat son plein. Et si le nez n'était pas le nez mais quelque
autre éminence du corps mâle ? Toute vanité en serait d'autant plus bafouée. -
Un épisode imaginaire de la lutte des cosaques contre les Polonais dans l'Ukraine du XVII? siècle. Le vieux Taras Boulba, cosaque des temps héroïques, après avoir initié à la guerre ses deux fils, perd l'aîné sous les coups de l'ennemi et tue de ses propres mains le cadet qui, amoureux d'une Polonaise catholique, a trahi sa famille et la foi orthodoxe. À la suite de deux grandes batailles, Taras Boulba est fait prisonnier et meurt brûlé vif sur le bûcher. La réussite du récit, écrit par Gogol quand il a à peine vingt-six ans, tient à ce que le souffle épique y côtoie sans cesse la truculence quasi rabelaisienne de la fête, des beuveries cosaques, mais aussi l'évocation poétique d'une Ukraine primitive.
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Voici une nouvelle traduction du plus célèbre livre de Gogol dans une version inédite en France : au lieu d'utiliser un texte mutilé par la censure du XIXe siècle, dont sont partis tous les précédents traducteurs, André Markowicz est revenu à la version proposée par l'édition académique de l'URSS, le plus complet et le plus fiable. Ce volume reprend scrupuleusement l'ordre de présentation des récits tel qu'établi par Gogol lui-même dans l'édition de ses oeuvres en 1842, et, aux nouvelles strictement dites "de Pétersbourg", a été ajoutée leur étonnante conclusion, "Rome", fragment de roman qui en renverse la perspective.
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Lorsque Khlestakov, jeune voyageur pétersbourgeois endetté et affamé, arrive dans "un petit trou de province", il ne s'attend pas à un tel accueil. Hébergement, vins, cigares, vêtements et équipages élégants : rien ne lui est refusé par Anton Antonovitch, le gouverneur qui vient à sa rencontre. D'abord surpris par tant d'hospitalité, il comprend bientôt qu'on le prend pour un révizor, c'est-à-dire un inspecteur envoyé par le gouvernement...
Miroir de la société sous Nicolas Ier ? Satire de l'administration russe ? Comédie de tous les temps et de tous les pays ? Autant d'interrogations qui font la richesse du Révizor (1836), parabole à l'humour corrosif sur la corruption et l'imposture.
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Récit historique, épopée et extraordinaire roman d'aventures tout à la fois, Tarass Boulba est l'oeuvre de Gogol la plus lue et la plus souvent traduite. Véritable plongée au coeur de l'Ukraine du XVII? siècle, ce roman retrace, à travers l'histoire d'un chef cosaque haut en couleur et de ses deux fils, le destin d'une communauté en lutte, d'un côté, contre l'occupation polonaise, et, de l'autre, contre les agressions tatares. Par-delà les expéditions guerrières, les chevauchées dans la steppe et le récit des séjours au camp - cette étrange république où l'on festoie autant que l'on s'entraîne -, le romancier met en scène une idylle interdite, celle qui unit le fils cadet de Tarass Boulba à une jeune Polonaise... Nul mieux que Gogol n'a su faire jaillir avec tant d'acuité l'éclat de ce «siècle à demi sauvage», ainsi que l'a noté Henri Troyat : «Malgré l'horreur de ce drame, tout éclaboussé de sang, une sorte d'optimisme s'en dégage. [...] La robuste santé des protagonistes, la simplicité de leurs passions, la grandeur homérique de leurs exploits, la beauté des paysages qu'ils traversent, tout cela, mystérieusement, réconforte le lecteur [...]. Au vrai, Tarass Boulba est un roman écrit par un peintre.»
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«Pour la première fois en France, la Pléiade réunit en un volume toutes les oeuvres littéraires et théâtrales de Gogol et, parmi le reste de ses écrits, tout ce qui est essentiel pour suivre ou illustrer l'évolution si singulière de l'auteur - de la satire à l'apostolat et du rire au "mysticisme" - et pour en mettre en évidence la continuité, sans recourir nécessairement ou uniquement à des interprétations pathologiques, apocalyptiques ou gratuitement psychanalytiques. Gogol, en tant que père de la nouvelle, du roman et du théâtre russes tels qu'ils se sont imposés après lui dans la littérature universelle, est assez bien connu par de nombreuses traductions (entre
lesquelles on n'a eu que la peine de choisir quand on n'a pas eu recours, notamment pour le cycle ukrainien, à des traductions nouvelles). Le Gogol seconde manière, celui du "grand dessein", avec ses ambitions religieuses de réformateur moral de son pays, est beaucoup moins connu : ce sont des traductions inédites que celles des Passages choisis de ma correspondance et de la Confession d'un auteur par José Johannet. Entre ces deux Gogol de style si différent, il y a une profonde mais émouvante unité : c'est elle qui ressort, d'une étape à l'autre, de la composition chronologique et progressive de ce volume. Pour l'illustrer, on s'est référé avant tout au témoignage de l'auteur lui-même dans ses lettres privées, accessoirement au témoignage de ses contemporains, par d'abondantes citations pour lesquelles ont été, à dessein, largement développées la Chronologie et les Notes. C'est ainsi un portrait global et mobile de l'homme et de son oeuvre - rigoureusement inséparables dans son cas, ou plutôt de plus en plus étroitement liés jusqu'au drame final qui les sépare, - une véritable somme du phénomène Gogol, qu'offre ce volume.» Michel Aucouturier, 1966. -
C'est en 1831 que paraissent à Saint-Pétersbourg Les Soirées du hameau, publiées par Panko le Rouge, éleveur d'abeilles. Derrière ce sobriquet se dissimule un écrivain de vingt-deux ans, qui utilise ses souvenirs d'enfance et le folklore de l'Ukraine. Gogol devient aussitôt célèbre avec ces courts récits qui plaisent à la fois au public populaire et à Pouchkine : «Voici de la vraie gaieté, sincère, sans contrainte.»
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Nouvelles de Pétersbourg
Nicolas Gogol
- Le Livre De Poche
- Les Classiques D'aujourd'hui
- 26 Août 1998
- 9782253096306
Gogol n'a jamais conçu les « nouvelles de Pétersbourg » comme un projet global qu'il aurait réalisé chapitre après chapitre. Le titre, d'ailleurs, n'a été inventé qu'après sa mort, par des édi- teurs. Saint-Pétersbourg n'est pas pour lui l'objet d'une étude systématique, 1411 mais l'occasion de voyages fantastiques, au sens le plus large du terme. C'est la ville des rencontres inopinées. Chacun peut y tomber sur des voleurs (Le Manteau), sur un tableau énigmatique (Le Portrait), sur deux chiens qui parlent (Journal d'un fou), ou encore...
Sur son propre nez, déguisé en conseiller d'État (Le Nez). De même que les héros de La Perspective Nevski suivent chacun une inconnue qui passe, de même Gogol s'empare d'une idée et se laisse mener par elle, dans le labyrinthe des surprises cocasses, des déceptions, des épouvantes, de la folie, de la damnation.
Traduire Gogol est un bonheur et une difficile épreuve. Car il s'agit d'un écrivain qui joue de tous les styles, depuis la banale grandiloquence jusqu'au débraillé chaotique, multipliant les surprises et les inventions, suggérant des intonations ronflantes ou sarcastiques. Comédien né, merveilleux lecteur à haute voix, Gogol laisse les mots imaginer.
Il devine en eux d'infinis secrets, et s'abandonne à leur pouvoir.
On l'a dit « réaliste ». Mais le réalisme n'est qu'un aspect de cette oeuvre hyperbolique, traversée de nostalgies et de terreurs inexplicables, empreinte d'une bouleversante bouffonnerie.
Curieuse coïncidence : Gogol est né la même année qu'Edgar Poe et partage sans le savoir son goût pour un mot magique : « arabesque ».
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Gogol a 25 ans lorsqu'il entreprend d'écrire la nouvelle "? Pages du journal d'un fou ? " (selon le titre original que lui donna Gogol, et non simplement ? : "? Le journal d'un fou ? "). Cette prose parut pour la première fois un an après sa rédaction, en 1835, elle fait partie du recueil de textes Arabesques. On le connaît généralement comme l'un des cinq récits qui composent "? Les nouvelles de Pétersbourg ? ", bien que Gogol ne les ait jamais réuni lui-même sous ce titre, ni par ailleurs fait paraître à part aussi ces cinq textes.
Ecrite à la première personne, la nouvelle se présente sous la forme de pages, semble-t-il retrouvées, d'un journal intime tenu par un petit fonctionnaire pétersbourgeois de quarante-deux ans dont le nom complet ne nous est révélé qu'à la fin : Aksenti Ivanovitch Poprichtchine, allant du 3 octobre d'une année non spécifiée à une date pour le moins incompréhensible, le narrateur ayant perdu jusqu'à la notion du temps.
Gogol est le premier, du moins dans la littérature russe, à avoir ainsi donné vie aux "? petites gens ? ", à avoir ouvert la porte à la cohorte des invisibles qui peuplent les villes pour nous les rendre visibles, vivants. Combien d'écrivains ont ensuite marché sur ses traces ! Dostoïevski, qui lui vouait une immense admiration, aurait dit - selon les propos rapportés par Eugène-Melchior de Vogüé - "? Nous sommes tous sortis du Manteau de Gogol ? ! ? " Le talent comique et réaliste de Gogol ne se dément pas.
Un souffle surnaturel traverse la réalité, le comique bouscule le tragique quand, au détour d'une page, le rire prend le pas sur l'effroi. Livre illustré par des dessins d'Anne Gourouben.
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«Nous sommes tous sortis du Manteau de Gogol»:la citation, attribuée à Dostoïevski, est reprise à son compte par Nabokov... et chacun de faire de Gogol le père du fantastique et de l'absurde. Chez Gogol, le sens de la destinée humaine comme l'existence du monde restent d'insondables énigmes dont le mystère affleure en créant de grands désordres. Gogol s'emploie à révéler comment l'obscur magma qui s'agite sous la surface de vies apparemment lisses trouve les failles par lesquelles la matière volcanique remonte inexorablement à la surface. Et c'est sous l'effet de cette force aveugle que le héros gogolien est projeté dans une expérience du plus haut comique, absurde et pathétique. Existant peu, il est indéterminé, et ne maîtrisant rien il est particulièrement sujet à ce que son vide intérieur soit comblé par l'improbable...
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Cette édition rassemble, dans des traductions inédites ou entièrement revues, l'intégralité des oeuvres dramatiques de Nikolaï Gogol (1809-1852) : non seulement ses trois grandes pièces, Le Mariage, Les Joueurs et Le Révizor (proposé ici dans ses deux versions, celle de 1836 et celle de 1842), mais aussi les fragments de son premier projet de comédie, Le Saint-Vladimir de troisième classe, ainsi que d'autres pièces courtes ou inachevées.
Ce volume de Théâtre complet est enrichi d'articles, de lettres et de petites pièces évoquant les conditions d'écriture et de réception du Révizor, ainsi que d'extraits de la correspondance de l'auteur qui viennent éclairer son travail et sa conception du théâtre.
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Nicolas Vassilievitch Gogol (1809-1852) croyait vraiment au diable. Mais le Malin, pour corrompre le malheureux peintre Tchartkov, délaisse ici son attirail de fumées, de goules et de harpies : un vieux portrait et quelques ducats d'or suffiront. Dans cette version pétersbourgeoise de "Faust", le fantastique a valeur d'allégorie : la création artistique est-elle sans danger pour l'âme?
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Le nez ; le manteau
Sophie Barthélémy, Eddie Breuil
- Folio
- Folioplus Classiques
- 1 Avril 2010
- 9782070423309
Dans Folioplus classiques, le texte intégral, enrichi d'une lecture d'image, écho pictural de l'oeuvre, est suivi de sa mise en perspective organisée en six points :
- Vie littéraire : De Pouchkine au réalisme - L'écrivain à sa table de travail : La vie des nouvelles - Groupement de textes thématique : Malaise dans la culture - Groupement de textes stylistique : L'apparition et la vengeance - Chronologie : Nicolas Gogol et son temps - Fiche : Des pistes pour rendre compte de sa lecture Recommandé pour les classes de collège.
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A Saint-Pétersbourg, ville peuplée de policiers et de fonctionnaires, la vie est impeccablement réglée... Elle le serait du moins si des événements incroyables ne venaient en bouleverser le cours : le nez d'un assesseur de collège disparaît soudain et s'en va parcourir les avenues sous la forme d'un conseiller d'État, tandis qu'aux alentours du pont Kalinkine, le fantôme d'un fonctionnaire rôde à la recherche d'un manteau volé.
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Publiées en Russie en 1846, traduites aux éditions Grasset en 1957, ces Lettres spirituelles et familières ont été écrites entre 1843 et 1846. Elles témoignent d'une passion nouvelle pour Gogol, le christianisme. Il y évoque la place de l'Église en Russie, l'importance de la morale orthodoxe pour l'humanité, l'influence de la foi sur son oeuvre.
C'est aussi l'occasion pour lui de parler de littérature et de revenir sur sa vie intime. Il évoque son amitié avec Pouchkine, son rapport aux femmes, à la maladie, à la mort ; il défend l'importance de la poésie dans une société où règne la vulgarité, se livre, pendant sept pages, à un éloge du lyrisme, s'indigne que plus personne ne déclame de poèmes en public.
Gogol considérait ce recueil comme son testament. Parues six ans avant sa mort, ces lettres sont sa dernière publication majeure. Moralisateur et mystique, mais aussi brillant et cultivé, original souvent, passionné toujours, tel est le dernier Gogol qui se révèle dans ce livre. La confession d'un des écrivains les plus novateurs du XIXe siècle.
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"Vij est une créatinon grandiose de l'imagination populaire. Sous ce nom, les Ukrainiens désignent le chef des gnomes dont les paupières pendent jusqu'à terre.
Tout ce récit vient d'une tradition populaire, je n'ai rien voulu y changer, et je le transmets dans la forme simple et dépouillée où il m'a été conté un jour." Nicolas Gogol
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9h (6 interprètes minimum). - Décor : une chambre dans une auberge - Durée : 1h20 Une auberge dans la Russie provinciale profonde du XIXème siècle. On y joue aux cartes ; on y joue même gros. Trois comparses semblent bien se connaître. A peine arrivé Ikhariev semble avoir de grandes ambitions aussi. On se défie, on se jauge. Qui va plumer qui ? Finalement ne vaudrait-il pas mieux s'associer ?
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Le nez et autres nouvelles russes
Alexandre Pouchkine, Ivan Tourguéniev
- Le Livre De Poche Jeunesse
- Ldp Jeunesse
- 27 Janvier 2016
- 9782013193153
Un matin, l'assesseur de collège Kovaliov se réveille sans son nez ! A la place, il ne reste qu'une surface lisse et plane. Prêt à avertir la police de cette disparition effroyable, il se retrouve nez à nez avec son appendice !
Ce dernier déambule, en effet, dans les rues de Saint-Pétersbourg en tenue de conseiller d'Etat, bien décidé à conserver sa liberté.
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La foire annuelle de Sorotchintsy
Gennadij Spirin
- Le Sorbier
- Au Berceau Du Monde
- 2 Décembre 1990
- 9782732032313
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Ivan Ivanovitch et Ivan Nikoforovitch sont voisins. S'ils sont de complexions fort dissemblables - l'un occupe son temps à la conduite de ses affaires quand l'autre préfère tendre béatement son dos au soleil - ces deux notables de Mirgorod n'en sont pas moins les meilleurs amis du monde. Une dispute pour des vétilles va pourtant remettre en question cette belle amitié et, malgré les efforts des autres notables de la ville, les entraîner dans des démarches judiciaires pour le moins démesurées.
Sous le couvert d'une bouffonnerie, c'est une étude sociale virulente et cruelle que nous propose Gogol dans cette nouvelle qui, par sa forme et son propos, s'apparente à plusieurs de ses autres oeuvres plus célèbres, notamment Le Nez, Le Manteau ou bien Vij.
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Le nez ; le marchand de cercueils ; apparitions
Alexandre Pouchkine, Ivan Tourguéniev
- Hatier
- Classiques & Cie College
- 23 Mars 2011
- 9782218954252
Trois nouvelles représentatives de l'âge d'or de la littérature russe du XIXe siècle : Le Nez de Gogol, Le Marchand de cercueils de Pouchkine et Apparitions de Tourgueniev. Trois récits étranges et intrigants, où se côtoient humour et inquiétude, réalisme et fantastique.L'édition Classiques & Cie collègeSoigneusement annoté, le texte des nouvelles est associé à un dossier illustré, qui comprend : - un guide de lecture (avec des repères, un parcours de l'oeuvre et un groupement de documents sur le thème du rêve), - une enquête documentaire : "La Russie au XIXe siècle".
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Le nez ; nouvelles russes fantastiques
Alexandre Pouchkine, Ivan Tourguéniev
- Le Livre De Poche Jeunesse
- Ldp Jeunesse
- 23 Février 2011
- 9782013229333
Un matin, l'assesseur de collège Koliakov se réveille sans son nez ! À la place, il ne reste qu'une surface lisse et plane. Prêt à avertir la police de cette disparition effroyable, il se retrouve « nez à nez » avec son appendice !
Ce dernier déambule dans les rues de Saint- Pétersbourg en tenue de conseiller d'état, bien décidé à conserver sa liberté ! L'ironie de Gogol, l'humour pince-sans-rire de Pouchkine et la poésie de Tourgueniev se mêlent dans ce recueil pour dépeindre la Russie du XIXe siècle et la naissance du fantastique.