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Yil
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Paris, janvier 1463.
François Villon est incarcéré dans une geôle du Châtelet pour avoir participé à une rixe avec les notaires de Maître Ferrebouc. L'affaire du cambriolage du collège de Navarre dans laquelle François se trouve impliquée, refait surface.
Le voici condamné à mort. Bien qu'il ait fait appel, il se voit déjà pendu au grand gibet de Montfaucon. Hallucination ou manifestation surnaturelle, son double lui apparaît. S'engage alors un débat entre lui et sa conscience, entre le corps et le coeur.
Joblin nous livre ici un pastiche picaresque, gaillard et drolatique du célèbre poète médiéval. Nous y retrouvons aussi quelques unes de ses oeuvres les plus fameuses comme La Ballade des pendus. Ainsi s'élancent dans la danse macabre, étudiants, évêques, miséreux, grands seigneurs, nobles dames, maquereaux et prostituées, sans oublier les terribles Coquillards dont Villon adoptera le jargon. Dans la seconde partie du livre, les commentaires de l'auteur ouvrent de multiples portes plus ou moins dérobées sur l'univers du bon folâtre. -
Les contrepèteries c'est rigolo !
C'est rigolo pour ceux qui les énoncent et c'est rigolo pour ceux qui les discernent et qui les résolvent.
Com' ci... Les contrepèteries c'est encore plus rigolo quand leurs énoncés génèrent une première image loufoque, surréaliste ou saugrenue.
Com' ça... Les contrepèteries c'est encore plus rigolo quand leurs résolutions engendrent de nouvelles images encore plus loufoques, surréalistes et saugrenues.
Bref, les contrepèteries, c'est rigolo ! !