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L'Appel de la forêt est le roman qui a apporté la célébrité à Jack London. Il sera vendu à plus de six millions d'exemplaires aux États-Unis de son vivant. L'édition originale américaine est parue dans un cartonnage illustré vert olive, au lettrage doré. Cette nouvelle édition française veut rester dans la tradition et s'inspire, en la modernisant, de cette couverture.
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«Dans ses accès de rage, Croc-Blanc devenait plus fou encore que son maître. Auparavant, il n'était que l'ennemi des siens ; à présent, plus féroce que jamais, il était celui de toutce qui l'entourait.»Croc-Blanc est un chien-loup né sauvage. Capturé par un Indien, il découvre la soumission à l'homme. Mais au fond de lui, Croc-Blanc reste indomptable et fier, solitaire et cruel. Avant de rencontrer enfin un homme, capable de l'apprivoiser et de l'aimer.
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À l'occasion de recherches aux États-Unis pour écrire la biographie de Jack London qu'elle publie en janvier prochain aux Éditions Tallandier, Jennifer Lesieur a découvert un véritable inédit de l'écrivain américain le plus lu en France. Elle le préface et présente : on y lit en creux toute l'oeuvre en devenir. Jacques Tournier le traduit.
Mars 1894, Jack London a 18 ans. Il traverse les États-Unis avec " l'Armée de Kelly ", une marche de protestation constituée de chômeurs et de laissés-pour-compte d'un 1929 avant l'heure. Entre raisin et colère, il bifurque, puis vagabonde seul, apprend, découvre. Ce texte est le premier écrit attesté de London. Composé comme le journal d'un chemineau dans un argot novateur et savoureux, il radiographie les États-Unis en pleine crise économique (1894-1895) et contient en germe une découverte du socialisme.
Deux ans plus tard (juillet 1897), London part chercher de l'or dans le Grand Nord canadien. Il rentrera avec 4 dollars de pépites mais des dizaines de pages inédites sur les tribus indiennes qu'il a croisées en route, une mine d'anecdotes et déjà la veine d'une philosophie de la vie.
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Des livres de Jack London, il y en a beaucoup.
Mais les grands livres de cet auteur se comptent sur les doigts des deux mains.
Depuis 1925, personne n'avait jamais retraduit cet immense roman, pas même la Pléiade.
Voici enfin la traduction intégrale de ce chef d'oeuvre de la littérature anticarcérale, également roman précurseur des littératures de l'imaginaire.
Grand format 15.00 €Indisponible
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CONSTRUIRE UN FEU Par Jack London Thèmes abordés : survie, Grand Nord, chien Le roman :
Dans le Grand Nord canadien, un homme, accompagné de son chien, tente de rejoindre ses compagnons.
Il sait qu'il fait beaucoup trop froid pour un tel périple. Il n'aurait pas dû sortir. Mais s'il ne commet pas d'erreur, il devrait pouvoir y arriver.
Un court roman d'aventure haletant, aussi glaçant que l'hiver en Alaska.
L'auteur :
Le 22 novembre 1916, Jack London s'est éteint, emporté par une maladie rénale. Il laisse derrière lui une oeuvre prolifique de plus de cinquante titres. Pour les plus connus, comme Croc-Blanc ou L'appel de la forêt, Jack London puise son inspiration dans son expérience comme chercheur d'or dans le Klondike. C'est d'ailleurs dans cette région du Canada qu'il situe l'action de Construire un feu.
À l'occasion de l'anniversaire des 100 ans de la mort de l'écrivain, Alice jeunesse réédite ce roman court et intense où sont condensées les valeurs et les passions de Jack London. -
Jack London, romans, récits et nouvelles Tome 1
Jack London
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 13 Octobre 2016
- 9782070146475
Nul n'est plus difficile à saisir que Jack London. Écrivain populaire, selon un étiquetage hâtif, lu dans les foyers plutôt qu'à l'université, mal édité aux États-Unis, pourtant traduit dans toutes les langues, connu et aimé dans le monde entier, il semble appartenir, plutôt qu'à la littérature, à un imaginaire collectif où la dénomination «Jack London» incarnerait l'esprit d'aventure sous ses formes les plus violentes. Sa vie, menée à un train d'enfer, est souvent confondue avec ses livres, l'ensemble composant une sorte de légende hybride dans laquelle «la vie» ne cesse de l'emporter en prestige sur des ouvrages qui n'en seraient que la pâle imitation. C'est oublier que les équipées du jeune London sont inspirées des récits héroïques lus dans son enfance : la littérature précède et commande la carrière tumultueuse du jeune aventurier risque-tout. Ses livres sont les produits d'une authentique volonté créatrice. Mais il faut être juste : London, mythographe de lui-même, n'a pas peu contribué à cette confusion. L'autodidacte, l'ange au corps d'athlète, l'écrivain-chercheur d'or, l'écrivain-navigateur, le reporter, le prophète de la révolution socialiste, le gentleman-farmer - les images qui composent le mythe sont largement une création de cet homme acharné à goûter de toutes les intensités que la vie peut offrir. Revenir aux textes de Jack London et le rendre à la littérature, telle est l'ambition de ces volumes, enrichis de la totalité des illustrations et photographies des premières éditions américaines. Les traductions, nouvelles, s'efforcent de ne pas atténuer les étrangetés d'un style que l'écrivain a souvent déclaré s'être forgé sans autre maître que lui-même. Tous les genres que London a abordés sont représentés : le roman, le récit, le reportage, l'autobiographie. Une place importante a été faite à la nouvelle : on propose en tout quarante-sept proses brèves, et c'est peut-être par là qu'il faut commencer pour saisir ce que London demande à l'écriture de fiction.
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Dans The Dream of Debs (1909), une nouvelle d'anticipation, Jack London ranime le spectre de la grève générale. Un matin, les notables de San Francisco s'éveillent et le personnel manque à l'appel. Les ouvriers ont déclenché une grève interprofessionnelle illimitée. La pénurie s'organise et la détresse des possédants progresse. Mais l'armée veille au grain...
South of the Slot (1909) relate la vie de Freddie Drummond, un sociologue conformiste dont l'objet d'étude porte sur le monde ouvrier. Régulièrement, l'habitant des quartiers riches troque son costume pour le bleu de travail et devient « Big Bill », le camionneur syndicaliste. Progressivement, Freddie se sent mieux dans cette société ouvrière où les rapports sont plus francs, où la solidarité n'est pas un vain mot...
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Jack London, romans, récits et nouvelles Tome 2
Jack London
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 13 Octobre 2016
- 9782070146482
Nul n'est plus difficile à saisir que Jack London. Écrivain populaire, selon un étiquetage hâtif, lu dans les foyers plutôt qu'à l'université, mal édité aux États-Unis, pourtant traduit dans toutes les langues, connu et aimé dans le monde entier, il semble appartenir, plutôt qu'à la littérature, à un imaginaire collectif où la dénomination «Jack London» incarnerait l'esprit d'aventure sous ses formes les plus violentes. Sa vie, menée à un train d'enfer, est souvent confondue avec ses livres, l'ensemble composant une sorte de légende hybride dans laquelle «la vie» ne cesse de l'emporter en prestige sur des ouvrages qui n'en seraient que la pâle imitation. C'est oublier que les équipées du jeune London sont inspirées des récits héroïques lus dans son enfance : la littérature précède et commande la carrière tumultueuse du jeune aventurier risque-tout. Ses livres sont les produits d'une authentique volonté créatrice. Mais il faut être juste : London, mythographe de lui-même, n'a pas peu contribué à cette confusion. L'autodidacte, l'ange au corps d'athlète, l'écrivain-chercheur d'or, l'écrivain-navigateur, le reporter, le prophète de la révolution socialiste, le gentleman-farmer - les images qui composent le mythe sont largement une création de cet homme acharné à goûter de toutes les intensités que la vie peut offrir. Revenir aux textes de Jack London et le rendre à la littérature, telle est l'ambition de ces volumes, enrichis de la totalité des illustrations et photographies des premières éditions américaines. Les traductions, nouvelles, s'efforcent de ne pas atténuer les étrangetés d'un style que l'écrivain a souvent déclaré s'être forgé sans autre maître que lui-même. Tous les genres que London a abordés sont représentés : le roman, le récit, le reportage, l'autobiographie. Une place importante a été faite à la nouvelle : on propose en tout quarante-sept proses brèves, et c'est peut-être par là qu'il faut commencer pour saisir ce que London demande à l'écriture de fiction.
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En l'an 2013, dans un monde que les magnats de l'industrie dominent, éclate une épidémie qui, en peu de temps, fait disparaître toute la race humaine. Soixante ans après, dans le décor apocalyptique d'une Californie retournée à l'âge de pierre, un vieil homme, l'un des rares survivants - très longtemps persuadé d'avoir seul survécu - , devant une poignée de gamins sauvages - les petits-fils des autres survivants - réunis autour d'un feu après la chasse quotidienne, raconte comment la civilisation s'en est allée en fumée quand l'humanité, sous le prétexte que l'on ne pouvait arrêter l'épidémie, s'est dépêchée de revenir, dans une frénésie de perversité, à des degrés inimaginables de cruauté et de barbarie. La peste écarlate est l'un des grands textes visionnaires de Jack London qui, ici encore, anticipe des thèmes qui deviendront obsédants un siècle plus tard.
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Le Talon de fer (The Iron Heel, 1907) appartient au patrimoine littéraire mondial. Francis Lacassin le désignait comme un «classique de la révolte». Dans ce récit d'anticipation publié durant la période la plus créative de sa vie (soit juste avant Martin Eden), Jack London imagine la société américaine future:
Révolte ouvrière, grève générale et impitoyable répression. Récit socialiste à thèse, récit d'amour (la narratrice Avis Everhard relate la geste de son compagnon Ernest Everhard, un double de Jack London), ce texte a été lu comme la préfiguration de la société capitaliste poussée jusqu'à sa forme extrême : le fascisme.
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Depuis plus de vingt ans, Scruff Mackenzie parcourt le Grand Nord canadien, chassant le renne et cherchant l'or. Mais jamais la solitude ne lui a paru aussi insupportable. Il décide de se marier et se rend chez les Sticks. de farouches Indiens. Pour eux, les hommes blancs sont les Fils du Loup, - et ils s'en méfient. Mackenzie pourra-t-il obtenir la main de la belle Zarinska, la fille du chef ? Avec les aventuriers et les chercheurs d'or, un fabuleux voyage au coeur des paysages grandioses du nord du Canada.
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Romans, récits et nouvelles Tome 1 et Tome 2
Jack London
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 13 Octobre 2016
- 9782070197415
Coffret de deux volumes vendus ensemble
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Ce que la vie signifie pour moi
Jack London
- Editions Du Sonneur
- Ce Que La Vie Signifie Pour Moi
- 24 Septembre 2015
- 9782916136929
Cette brève « autobiographie », parue en 1906, est l'un des textes politiques de Jack London les plus marquants. Dans ce récit personnel, il retrace le chemin qui le mena à devenir socialiste. Crieur de journaux, pilleur d'huîtres, ouvrier dans une conserverie, employé d'une teinturerie, électricien, vagabond. il nous livre ici les voies qui firent de lui l'auteur engagé si longtemps méconnu. Une plongée au cour du destin d'un des écrivains américains les plus ambigus.
Ouvrage à l'origine de la collection Ce que la vie signifie pour moi.
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La folle cupidité des hommes des grandes cités, la rouerie des trafiquants du Klondike, les aspirations bourgeoises des indigènes d'un atoll du Pacifique. Les décors des trois nouvelles de ce recueil sont aussi différents que chers à London ; il y met en scène des personnages aux prises avec leurs passions, nobles ou mesquines, et confrontés à la violence éternelle du monde qui les entoure.
Ce volume contient : Les Morts concentriques, La Face perdue et La Maison de Mapuhi. Ces nouvelles avaient été choisies en leur temps par Jorge Luis Borges pour donner la pleine mesure de la diversité du talent de London, dans le cadre de la Bibliothèque de Babel dont il était l'éditeur.
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La Petite Dame dans la Grande Maison
Jack London
- Libretto
- Litterature Etrangere
- 3 Octobre 2016
- 9782369142980
L'Amérique bien-pensante de 1916 hurla au scandale quand London publia La Petite Dame dans la Grande Maison : évocation d'un amour libéré des entraves ordinaires (un ménage à trois), mais surtout, entre les lignes, véritable manifeste en faveur du libre choix amoureux que la société si longtemps refusa à la femme.
Un London étrangement féministe. Une histoire à la fois violente et touchante, qui n'est pas sans annoncer celle de Jules et Jim.
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Puis, il vit la révolution dans toute sa gloire - rouge et resplendissante -, la révolution qui allait se propager dans son pays martyr et briser le joug du tyran. Les fusils étaient là, à portée de main. Chacun de ces visages honnis était un fusil. C'était pour ces fusils qu'il combattait. Il était ces fusils. Il était la révolution. Il boxait pour le Mexique tout entier.
1910, le Mexique est en ébullition. La dictature de Porfirio Díaz étouffe toute contestation par le fer et par le feu. Mais le règne de plus de 30 ans touche à sa fin. Depuis la Californie, les révolutionnaires préparent la conquête du pouvoir. Un matin, Felipe Rivera, jeune Mexicain chétif, surgit dans les locaux de l'organisation. Nul ne sait d'où il vient. On ne lui connaît aucune activité, cet être est un mystère.
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Dernier livre paru du vivant de Jack London, ce recueil regroupe huit nouvelles inédites en France qui sont autant d'hommages à des écrivains français tels que Maupassant ou Victor Hugo. Ces nouvelles datent pour la plupart de 1911.
La rencontre d'êtres « différents », tantôt destructrice, tantôt positive, et source violente de conflits intérieurs, est le thème dominant de cet ensemble.
De cet univers peuplé de marginaux ou de criminels sourdent pourtant, telles des lueurs, les notions de rédemption, d'amour ou de sacrifice toujours possible.
Entre pessimisme tragique et indéfectible foi en l'humanité, Jack London donne là une sorte de testament littéraire, enfin publié tel qu'il l'avait souhaité.
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Dans ce bref et singulier récit, qui annonce en quelque manière La Ligue des vieux (dans le recueil Les Enfants du froid ) et même l'inachevé Bureau des assassinats , Jack London se fait fabuliste pour critiquer l'avidité capitaliste et la manière dont elle rabougrit le sens moral du corps social tout entier.
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