Sale temps pour les élites...
C'est un grand jour pour les Dead Hunters. Les tueurs les plus impitoyables que la Terre ait portés vont être récompensés pour leurs services déloyaux par le président des États-Unis en personne. Sanchez, le barman homicide de Santa Mondega et Flake, son irrésistible serveuse, sont chargés d'aller recevoir les décorations. Hélas pour eux, ils arrivent trop tard : le président vient d'être assassiné. Le même jour, des dizaines d'autres riches et puissants subissent le même sort. Carton plein. Et l'escalade de violence ne fait que commencer. Un milliardaire craignant pour sa vie - on le comprend - engage alors Rodeo Rex et le Bourbon Kid pour veiller sur les siens.
L'anonyme le plus déjanté de la littérature nous revient en très grande forme avec ce nouvel épisode plus survolté que jamais de la saga du Bourbon Kid. Et s'il y a bien une chose qu'on peut vous garantir, c'est que quand la mort présente l'addition, elle ne fait pas crédit.
Gisli est un Viking hors du commun ; habité de généreux idéaux, fils respectueux, frère fidèle et mari aimant, il se trouve bien malgré lui dans une situation compliquée. Victime d'un destin impitoyable, il doit choisir entre venger son frère ou perdre son honneur.Vengeance, jalousie, trahison, tous les ingrédients sont rassemblés pour nous offrir une histoire de vaillance, d'amour et de mort dans le monde rude des fiers guerriers vikings.
Cette nouvelle traduction du grec ancien des quatre Évangiles canoniques (Matthieu, Marc, Luc et Jean) entend faire redécouvrir ces textes comme des oeuvres littéraires originales, au sein de la littérature antique juive et grécoromaine. Une littérature forgée et inventée à partir des pratiques orales d'enseignement et de discussion de la Torah (la Bible hébraïque) pendant toute la période dite du Second Temple, du vie siècle avant notre ère au Ier siècle.Une triple conviction est à l'origine de cette traduction : 1) Les Évangiles appartiennent à la culture religieuse et littéraire du judaïsme antique. 2) Rédigés dans la langue grecque de l'époque, ce sont des traductions de paroles, de discours, de citations de l'araméen et de l'hébreu de l'époque. 3) Ces textes sont des performances littéraires pour témoigner de l'enseignement d'un jeune rabbi du Ier siècle en Judée et en Galilée.Le mot «évangile» est ainsi traduit et compris comme performance : réaliser par l'écrit «l'annonce heureuse».Il s'agit de revisiter le vocabulaire traditionnel religieux, en revenant à la littéralité du grec ancien.Enfin, on découvre une autre représentation de Jésus et de sa parole. Jésus cherche moins à culpabiliser qu'à libérer, il ne fonde pas de nouvelle religion mais cherche à faire abonder, multiplier, la parole de la Torah, en direction de toutes les classes sociales. Ces textes, écrits et composés en temps de crise, dialoguent avec notre époque.F. B.
Eirikr le Rouge, condamné au bannissement à la suite des meurtres de Eyjólfr la Fiente et de Hrafn le Duelliste, met les voiles et part à la découverte du Groenland. Leifr, fils d'Eirikr et de Thjódhildr, part du Groenland vers la Norvège mais son bateau est détourné vers les Hébrides ... Quant à Thorfinnr Karlsefni, fils de Thórdr Tête-de-Cheval, il part explorer le Vinland, contrée lointaine de Terre-Neuve... Le nom d'Eirikr le Rouge évoque l'aventure, la bravoure, la magie des Vikings et les découvertes de contrées sauvages du Grand Nord...
Santa Mondega, une ville d'Amérique du Sud oubliée du reste du monde, où sommeillent de terribles secrets.
Un serial killer qui assassine ceux qui ont eu la malchance de lire un énigmatique livre sans nom. La seule victime encore vivante du tueur, qui, après cinq ans de coma, se réveille, amnésique. Deux flics très spéciaux, des barons du crime, des moines férus d'arts martiaux, une pierre précieuse à la valeur inestimable, un massacre dans un monastère isolé, quelques clins d'oeil à Seven et à The Ring, et voilà le thriller le plus rock'n'roll et le plus jubilatoire de l'année ! Diffusé anonymement sur Internet en 2007, cet ouvrage aussi original que réjouissant est vite devenu culte.
II a ensuite été publié en Angleterre puis aux Etats-Unis, où il connaît un succès fulgurant.
Après avoir réglé son compte à Dracula, le Bourbon Kid est de retour, plus en colère que jamais. Tandis que Sanchez, le barman patron du Tapioca, devient le nouveau maire de Santa Mondega, une tempête de neige à l'intensité biblique s'apprête à s'abattre sur la ville. Simple coïncidence ou ruse du diable ? Justement, celui-ci a réuni les meilleurs tueurs à gages pour éliminer le Kid. Parmi eux, un homme à la hache complètement cinglé, une sorcière, une tribu de cannibales et une armée de squelettes. Et pour couronner le tout, la Grande Faucheuse en personne a été convoquée.Pour le Bourbon Kid et la bande des Dead Hunters, l'heure de la traque a sonné.Formidablement agencé, rythmé, porté par des scènes d'action au cordeau et une belle science du gag. Le Monde des livres.Santa Mondega se lit avec délectation : l'auteur ose tout et on en redemande. C'est du divertissement à l'état pur. 20 Minutes.Punk, joyeusement gore et furieusement hilarant. La Voix du Nord.Traduit de l'anglais Cindy Colin-Kapen.
À partir des Song et pendant trois dynasties, les conteurs populaires ont produit des huaben (ou contes en langue vulgaire) ; après quoi, des lettrés s'efforcèrent de restituer à l'oralité primordiale ses lettres de noblesse écrite.Les huaben racontent des histoires, drôles ou tragiques, qui nous proposent de la Chine des Song et des Yuan des tableaux fort vivants, ceux-là mêmes qui divertissaient les très nombreux auditeurs des conteurs publics. L'invention, la verve, l'ironie font en effet merveille. D'ailleurs, ces proses mêlées de vers fourniront bientôt, par savante agglutination, la trame des grands et longs romans qu'élaborera la Chine à partir des Ming.Avec ces Contes de la Montagne Sereine, la plus ancienne collection de huaben connue, nous sommes aux sources mêmes d'un genre littéraire entre tous fascinant.
Texte amoureux et incarné d'une part, texte métaphorique et philosophique d'autre part, Le Cantique des cantiques et L'Ecclésiaste sont deux fragments bibliques inépuisables de densité et de beauté, qui captivèrent au fil des siècles théologiens, penseurs, artistes. Ces deux livres de l'Ancien Testament, sommets littéraires écrits en hébreu, sont ici restitués dans une langue poétique par la plume claire et ciselée d'Ernest Renan. «Oui, tu es belle, mon amie! oui, tu es belle ! Tes yeux sont des yeux de colombe. Oui, tu es beau, mon bien-aimé ! oui, tu es charmant ! Notre lit est un lit de verdure. »
La jeune Berlinoise qui a rédigé ce journal, du 20 avril 1945 - les Soviétiques sont aux portes - jusqu'au 22 juin, a voulu rester anonyme, lors de la première publication du livre en 1954, et après. À la lecture de son témoignage, on comprend pourquoi.
Sur un ton d'objectivité presque froide, ou alors sarcastique, toujours précis, parfois poignant, parfois comique, c'est la vie quotidienne dans un immeuble quasi en ruine, habité par des femmes de tout âge, des hommes qui se cachent : vie misérable, dans la peur, le froid, la saleté et la faim, scandée par les bombardements d'abord, sous une occupation brutale ensuite. S'ajoutent alors les viols, la honte, la banalisation de l'effroi.
C'est la véracité sans fard et sans phrases qui fait la valeur de ce récit terrible, c'est aussi la lucidité du regard porté sur un Berlin tétanisé par la défaite. Et la plume de l'auteur anonyme rend admirablement ce mélange de dignité, de cynisme et d'humour qui lui a permis, sans doute, de survivre.
Un roi, trompé par son épouse, décide de tuer chaque matin la compagne, toujours renouvelée, de sa nuit. Le royaume est en émoi. Une jeune fille, Shahrâzâd, tente le tout pour le tout. Elle raconte au roi de passionnantes histoires, et elle s'arrange pour que l'apparition de l'aube ne coïncide jamais avec la fin d'un récit. Ainsi, la curiosité du roi est tenue en haleine. Au bout de mille et une nuits, Shahrâzâd se voit reconnaître comme épouse légitime, mère et reine.Sur la naissance du recueil plane le plus épais mystère. Le premier témoignage connu date du X? siècle de notre ère. Une chose est sûre:pour les Arabes, le livre est étranger. L'Inde a eu sa part dans l'affaire, et l'Iran semble avoir joué le rôle décisif. Le recueil est anonyme:les Nuits sont une oeuvre de compilation. Leur histoire est donc celle d'une acclimatation assez réussie pour que ces contes puissent figurer dans la panoplie culturelle de l'honnête homme.Au début du XVIII? siècle, Antoine Galland découvre le conte de Sindbâd de la Mer. Il apprend qu'il appartient à un ensemble plus vaste et finit par recevoir de Syrie un manuscrit qu'il va traduire à partir de 1704. C'est le texte fondateur de la carrière universelle des Nuits. Le succès est immédiat, considérable, constant. Trois cent et un ans après Galland, Jamel Eddine Bencheikh et André Miquel proposent une traduction nouvelle, intégrale, appelée à faire date. Elle compte trois volumes.
Dans une époque troublée où la magie et les superstitions reprennent brutalement leurs droits et où les djinns, ifrites et autres diables perfides sortent de leurs tanières, il est d'honorables citoyens de Baghdad susceptibles de se montrer plus fourbes que les "coeurs inhumains".
Ces trois petits chefs-d'oeuvre présentent l'essentiel des méthodes taoïstes pour apaiser son esprit. La contemplation intérieure y est un thème majeur. Elle s'exerce sur l'esprit, sur le corps et sur les choses extérieures ou les désirs des choses. Calme et pureté sont les principales forces agissantes de cette contemplation. Écrits entre le VIIe et le XIIIe siècle, ces poèmes évoquent des méthodes de respiration entraînant des changements psychophysiologiques, des visualisations de divinités internes au corps, et la traversée de contrées lumineuses qui viennent compléter la pure contemplation de l'esprit. Grâce à la contemplation, trouver le Dao, la Voie, c'est-à-dire cet état d'indistinction originelle appelé chaos, mène à la fusion du corps et de l'esprit, et à l'accomplissement du Réel.
Plus ancien texte littéraire connu de l'histoire de l'humanité, l'Épopée de Gilgamesh narre les faits et gestes du roi d'Uruk, Gilgamesh, un tyran devenu sage à la suite d'une multitude d'aventures et de rencontres. De nombreux ouvrages de l'Antiquité s'en inspirent plus ou moins ouvertement.
L'épopée a ainsi directement fourni la matière du Déluge biblique. Elle a aussi beaucoup de points communs avec ce qui deviendra L'Écclésiaste. Homère s'en nourrit pour L'Iliade. On la retrouve aussi dans un épisode des Mille et Une Nuits.
Beaucoup plus proche de nous, Yuval Noah Harari lui consacre un passage dans Sapiens. Tout comme celle de Pierre Bottéro dans la collection « L'aube des peuples » chez Gallimard, cette traduction de Georges Contenau figure parmi les plus reconnues.
Elle s'appuie sur le texte le plus complet sur un plan scientifique, soit l'intégralité des douze tablettes découvertes dans la bibliothèque de la cité antique de Ninive au XIXe siècle et qui livrent une version rédigée vers l'an mille avant notre ère. Libretto propose, à ce jour, la seule édition de poche aussi exhaustive.
«La Bibliothèque de la Pléiade avait inscrit depuis longtemps à son programme une traduction intégrale de La Bible. Cette traduction devait être, par ses qualités littéraires, digne des grands classiques français et étrangers qui ont établi le renom de la collection. Elle devait en même temps répondre aux exigences de précision qu'ont suscitées le développement de l'esprit scientifique, les progrès de la philologie et les découvertes archéologiques les plus récentes. Nul ne pouvait donc être plus qualifié pour diriger et réaliser cette publication que M. Édouard Dhorme, membre de l'Institut, professeur honoraire au Collège de France : à une connaissance parfaite de l'hébreu et des langues sémitiques antérieures ou postérieures à celle-ci, M. Dhorme joint, à un haut degré, le sens de la langue française. Pour la première fois en France, semble-t-il, un tel approfondissement de l'hébreu non seulement n'a pas empâté la vigueur, ni terni les nuances de notre langue, mais au contraire en a affiné les richesses. C'est en serrant l'original de plus près que le traducteur, a, du fond du génie français, fait surgir des pouvoirs endormis et comme une nouvelle écriture. Celle-ci épouse le style de chacun des auteurs originaux et rend sensible leur tempérament propre : ici un ton oral sans âge, ailleurs de savants effets littéraires, parfois la raideur des inscriptions archaïques ou le frémissement de vie et la jeunesse retrouvée de poèmes immortels. L'introduction et les notes, n'ayant point de thèses à défendre, soucieuses uniquement d'éclairer le texte, situent tout ce qui peut l'être dans l'état actuel de nos connaissances : coutumes, jeux de mots, histoire et géographie, philosophie et morale, etc. Elles portent la marque d'une grande sagesse et d'une prudence courageuse. M. Dhorme, qui connaît aussi bien les hardiesses hypercritiques que la théologie savante, sait défendre les droits du texte littéral contre toute interprétation tendancieuse et se réserver devant les hypothèses téméraires. Voilà qui ne saurait laisser indifférents ni les croyants ni les historiens : cette publication doit ainsi emporter l'assentiment unanime. Il se trouve de surcroît que c'est un grand événement littéraire.» Bulletin Gallimard, oct. 1956.
Un roi, trompé par son épouse, décide de tuer chaque matin la compagne, toujours renouvelée, de sa nuit. Le royaume est en émoi. Une jeune fille, Shahrâzâd, tente le tout pour le tout. Elle raconte au roi de passionnantes histoires, et elle s'arrange pour que l'apparition de l'aube ne coïncide jamais avec la fin d'un récit. Ainsi, la curiosité du roi est tenue en haleine. Au bout de mille et une nuits, Shahrâzâd se voit reconnaître comme épouse légitime, mère et reine.Sur la naissance du recueil plane le plus épais mystère. Le premier témoignage connu date du X? siècle de notre ère. Une chose est sûre : pour les Arabes, le livre est étranger. L'Inde a eu sa part dans l'affaire, et l'Iran semble avoir joué le rôle décisif. Le recueil est anonyme : les Nuits sont une oeuvre de compilation. Leur histoire est donc celle d'une acclimatation assez réussie pour que ces contes puissent figurer dans la panoplie culturelle de l'honnête homme.Au début du XVIII? siècle, Antoine Galland découvre le conte de Sindbâd de la Mer. Il apprend qu'il appartient à un ensemble plus vaste et finit par recevoir de Syrie un manuscrit qu'il va traduire à partir de 1704. C'est le texte fondateur de la carrière universelle des Nuits. Le succès est immédiat, considérable, constant. Trois cent et un ans après Galland, Jamel Eddine Bencheikh et André Miquel proposent une traduction nouvelle, intégrale, appelée à faire date. Elle compte trois volumes.
Édition intégrale établie, traduite et présentée par René R. Khawam.
(XIIe-XIIIe siècle).
Dans une société où les hommes ne pensent qu'à ça, les femmes triomphent sur toute la ligne et s'entendent à merveille pour détourner à leurs propres fins le désir éperdu qu'on leur voue. En ce mitan du Moyen Âge musulman, le monde apparaît livré à bien des confusions et la passion amoureuse s'impose dès lors comme l'unique ressort de la machine humaine. Elle gouverne tout : politique des princes, échanges entre les nations, moeurs... L'Amour voyage et les aventures les plus étonnantes surviennent. Qui s'en plaindrait ? Mieux vaut périr de male mort que d'ennui !
Tout le monde pensait que le tueur le plus impitoyable que la terre ait jamais porté était mort. Eh bien non. Le Bourbon Kid est bel et bien vivant. Très mauvaise nouvelle. Pour tout le monde, mais surtout pour lui. Plutôt que de jouir d'une paisible retraite plus ou moins méritée, notre homme va en effet devoir régler quelques dettes. Avec à ses trousses toutes les bonnes et les mauvaises âmes de ce monde, le Kid a la très regrettable idée de se réfugier dans un monastère où sommeillent de sombres secrets. Bon, OK, il a l'habitude d'affronter des vampires, des bikers, des ninjas, des policiers assermentés et autres créatures de l'enfer. Mais en découdre avec un moine fou et des nonnes psychotiques... c'est une autre affaire !
«La Bibliothèque de la Pléiade avait inscrit depuis longtemps à son programme une traduction intégrale de La Bible. Cette traduction devait être, par ses qualités littéraires, digne des grands classiques français et étrangers qui ont établi le renom de la collection. Elle devait en même temps répondre aux exigences de précision qu'ont suscitées le développement de l'esprit scientifique, les progrès de la philologie et les découvertes archéologiques les plus récentes. Nul ne pouvait donc être plus qualifié pour diriger et réaliser cette publication que M. Édouard Dhorme, membre de l'Institut, professeur honoraire au Collège de France : à une connaissance parfaite de l'hébreu et des langues sémitiques antérieures ou postérieures à celle-ci, M. Dhorme joint, à un haut degré, le sens de la langue française. Pour la première fois en France, semble-t-il, un tel approfondissement de l'hébreu non seulement n'a pas empâté la vigueur, ni terni les nuances de notre langue, mais au contraire en a affiné les richesses. C'est en serrant l'original de plus près que le traducteur, a, du fond du génie français, fait surgir des pouvoirs endormis et comme une nouvelle écriture. Celle-ci épouse le style de chacun des auteurs originaux et rend sensible leur tempérament propre : ici un ton oral sans âge, ailleurs de savants effets littéraires, parfois la raideur des inscriptions archaïques ou le frémissement de vie et la jeunesse retrouvée de poèmes immortels. L'introduction et les notes, n'ayant point de thèses à défendre, soucieuses uniquement d'éclairer le texte, situent tout ce qui peut l'être dans l'état actuel de nos connaissances : coutumes, jeux de mots, histoire et géographie, philosophie et morale, etc. Elles portent la marque d'une grande sagesse et d'une prudence courageuse. M. Dhorme, qui connaît aussi bien les hardiesses hypercritiques que la théologie savante, sait défendre les droits du texte littéral contre toute interprétation tendancieuse et se réserver devant les hypothèses téméraires. Voilà qui ne saurait laisser indifférents ni les croyants ni les historiens : cette publication doit ainsi emporter l'assentiment unanime. Il se trouve de surcroît que c'est un grand événement littéraire.» Bulletin Gallimard, oct. 1956.
Que tous les hommes généreux, les seigneurs vertueux et glorieux le sachent, le but de ce livre exquis et passionnant est d'instruire. Ce que l'on y raconte forme l'esprit, ce que l'on y comprend le fortifie. Il s'adresse aux Grands de ce monde. On y apprendra l'éloquence, on y recueillera la chronique des premiers rois du monde, on y suivra de nobles récits. Écoutez-les !Vous y découvrirez comment déjouer les ruses en lisant sur les visages. Vous vous divertirez et vous vous réjouirez. Vous chasserez le souci qui dure et tout malheur qu'endure l'homme aux troubles du temps livré.
Personne n'a oublié le Bourbon Kid, mystérieux tueur en série aux innombrables victimes. Ni les lecteurs du Livre sans nom ni les habitants de Santa Mondega, l'étrange cité d'Amérique du Sud où dorment de terribles secrets. Alors que la ville s'apprête à fêter Halloween, le Bourbon Kid devient la proie d'une brigade très spéciale, une proie qu'il ne faut pas rater sous peine d'une impitoyable vengeance. Si vous ajoutez à cela la disparition de la momie du musée municipal et le kidnapping d'un patient très particulier de l'hôpital psychiatrique, vous comprendrez que la nuit d'Halloween à Santa Mondega risque, cette année, de marquer les esprits... Avec L'OEil de la Lune, l'auteur du Livre sans nom, toujours aussi anonyme et déjanté, revient sur les lieux du crime pour un nouvel opus de cette saga survoltée et jubilatoire.
Imaginez que vous décidiez un jour de percer le secret des Dead Hunters, impitoyable confrérie de justiciers sanguinaires installés dans le Cimetière du Diable. Et, pendant que vous y êtes, d'éliminer le serial killer le plus insaisissable de tous les temps : le Bourbon Kid. Peut-être y réfléchiriez-vous à deux fois. Lui, non. Son nom est Caïn.Et c'est avec une allégresse presque contagieuse qu'il va s'atteler à la tâche. On lui souhaite bien du courage. La série atteint ici son apogée, en poussant encore plus loin les curseurs. À consommer sans modération. Valérie Gans, Figaro Madame.Depuis le formidable Livre sans nom, ça défouraille sec. Macha Séry, Le Monde des livres. Traduit de l'anglais par Cindy Colin-Kapen.
D'une beauté et d'une force extraordinaires, Gilgamesh est roi d'Uruk, une cité de l'antique Mésopotamie. Accompagné de son fidèle ami Enkidu, il décide d'accomplir un exploit héroïque : tuer le monstrueux Humbaba. En chemin, il surmonte de terribles épreuves et essaie de percer le secret de l'immortalité.
Récit initiatique, réflexion sur la valeur de l'amitié et le sens de la vie, cette palpitante épopée est le plus ancien texte littéraire de l'humanité.
Ragnarr, le Viking dans toute sa gloire, sillonne les mers en quête d'exploits. Mais lorsqu'il s'élance à la conquête de l'Angleterre, il affronte un sort funeste : il est précipité dans une fosse aux serpents. Là, il déclame son chant funèbre, le Chant de Kraka, un somptueux poème scaldique. Ses redoutables fils, Ivarr sans Os, Hvitserkr le vigoureux, Björn Flanc de Fer et Sigurôr Serpent dans l'oeil, viendront assouvir une horrible vengeance sur son meurtrier, le roi Ella d'Angleterre.
La Saga de Ragnarr loobrok, ici accompagnée de la traduction du Dit des Fils de Ragnarr et du Chant de Kraka, est un chef-d'oeuvre de la littérature scandinave ancienne. Elle hante l'Occident depuis des siècles ; aujourd'hui, la série Vikings lui est consacrée.