Filtrer
Support
Éditeurs
Prix
Littérature
-
Le présent recueil est la traduction intégrale d'un manuscrit précieux daté de 1335 et conservé dans le fonds de la bibliothèque du Musée Guimet. Il contient quelque deux cents waka, poèmes de trente-et-une syllabes, le genre le plus prestigieux de la tradition japonaise.
Ces poèmes, composés entre le VIIe et le XIIIe siècle, sont dus à quatre-vingt auteurs différents, hommes et femmes. Ils parlent d'amour, des saisons, de voyages, mais aussi de la fragilité de toute existence.
Choisis par deux poètes majeurs, Fujiwara no Kintô (966-1041) et Fujiwara no Teika (1162-1241), les waka ici traduits (souvent pour la première fois) sont considérés par les Japonais comme des chefs-d'oeuvre. Leur beauté, souvent fulgurante, a traversé les siècles et l'espace.
Outre la traduction, le lecteur trouvera dans le présent ouvrage, informations et clefs nécessaires pour comprendre et apprécier pleinement ces joyaux de la poésie japonaise classique.
-
Contes d'Ise contes de risée ; une parodie japonaise
Anonyme
- Belles Lettres
- 15 Juin 2018
- 9782251447773
« Alors ce drôle n'eut d'autre ressource que d'invoquer humblement les bouddhas et les divinités en leur demandant de faire revenir à lui la dame de son coeur. Mais, comme son désir ne faisait que s'accroître tandis que l'effet se reculait avec une froideur qui passait toute mesure, il enveloppa en cadeau des cartes de récréation ainsi que des cure-dents, et se rendit chez elle pour lui en faire présent avec la promesse qu'il ne ferait plus appel à ses services. Las ! Plus l'entretien se prolongeait, plus son amour grandissait... » Au XVIIe siècle, un auteur japonais s'est amusé à récrire sur un mode cocasse un grand classique du Xe siècle, composé de 125 petits récits entrecoupés de poèmes.
Ces Contes de Risée constituent un véritable documentaire sur le début de l'époque d'Edo (1603-1867). Mais la traduction est aussi un tour de force, puisqu'elle est elle-même parodie d'une nouvelle version française des Contes d'Ise.
-
Trois pièces du théâtre des Yuan
Anonyme
- Belles Lettres
- Bibliotheque Chinoise
- 29 Octobre 2015
- 9782251100180
En Chine, le théâtre chanté est apparu autour du XIIIe siècle de notre ère et a connu son plein épanouissement sous la dynastie mongole des Yuan (1279-1368). Le corpus dont nous disposons, constitué des cent-soixante-deux livrets qui nous sont parvenus, est d'une diversité et d'une richesse telles qu'on le considère depuis longtemps comme l'expression la plus haute du génie théâtral chinois. Dès le XVIIIe et XIXe siècles, les premiers traducteurs de ces pièces en avaient saisi l'importance et avaient insisté sur la nécessité de les découvrir pour mieux comprendre l'esprit de la civilisation chinoise. Destinées à un public populaire et écrites en langue vulgaire (à l'exception de les airs chantés), ces oeuvres nous renseignent en effet sur la manière dont les Chinois envisageaient certaines questions fondamentales : les sentiments, les valeurs, les croyances, les conflits individuels et collectifs ainsi que les ressources morales dont l'individu confronté aux situations les plus extrêmes devait se montrer capable.
Parmi ce vaste corpus, il nous a fallu choisir trois pièces qui nous paraissaient exemplaires et représentatives de la dramaturgie des Yuan. L'Automne au palais des Han, l'Orphelin des Zhao et Zhao Li offre sa chair sont les trois drames les plus connus du théâtre chinois qui ont été retenus pour cette édition.
-
Du sublime
Anonyme
- Belles Lettres
- Collection Des Universites De France ; Serie Grecque
- 1 Janvier 1966
- 9782251001050
Le Traité du sublime, dont l'attribution fait débat et la date pose question de par ses nombreuses mutilations, est un ouvrage de critique littéraire. Oeuvre polémique répondant à Cécilius, il défend Platon contre la condamnation du rhéteur.
-
Écrit en latin au XIIe siècle et traduit ici pour la première fois en français, l'Ysengrimus est un texte sans équivalent : ancêtre du Roman de Renart, il raconte l'éternel affrontement du loup et du goupil. Mais dans cette épopée monastique, écrite pour réjouir les clercs, c'est Ysengrin, moine et évêque, qui joue encore le premier rôle.
Elisabeth Charbonnier, docteur ès lettres, agrégée de lettres classiques, est professeur en classe de lettres supérieures
-
Le Mahabhasya est le commentaire du linguiste Patanjali sur les Karika de Katyayana et l'Astadhyayi de Panini rédigé au milieu du IIe siècle av. J.-C. par un auteur dont nous connaissons seulement le nom. Plus d'un millénaire plus tard, sur la base d'un mythe, on a associé le nom Patanjali à l'auteur anonyme du Yogasutra : l'un avait purifié le domaine de la parole, l'autre celui de l'esprit. Mais il est sûr que l'auteur du Mahabhasya n'a rien à voir avec le yoga : c'est un pur linguiste.
Les trois auteurs (Panini, Katyayana et Patanjali) et les trois ouvrages constituent la base de la conscience linguistique dans le monde sanskrit, quelle que soient les préférences idéologiques et religieuses des auteurs. Ils forment le trimuni vyakaranam « La Grammaire des trois sages ».
Le Mahabhasya est un ouvrage technique ; il suppose connue l'Astadhyayi de Panini (vers le Ve siècle av. J.-C.) et les principaux problèmes d'herméneutique posée par ce texte. C'est donc un ouvrage de grammaire et d'exégèse. De plus, ce nom Mahabhasya « Grand Commentaire », donné par le linguiste Bhartrhari (Ve s. ap. J.-C.), en ne précisant pas la matière commentée, montre la place unique que l'ouvrage occupe dans la littérature commentariale : il en est le modèle. Avec Patanjali, la méthode commentariale est fixée une fois pour toutes et, malgré la naissance d'autres savoirs, le Mahabhasya est demeuré la norme en matière de commentaire quelle que soit la nature du texte commenté. Ces dernières années, l'intérêt pour le Sutra de Panini, proche dans une certaine mesure de l'esprit des programmes informatiques, a entraîné une relative désaffection envers le Mahabhasya. Les travaux de S.D. Joshi et J.A.F. Roodbergen et ceux de P.-S. Filliozat, des entreprises d'envergure, ont été interrompus si bien que le Mahabhasya n'est toujours pas traduit dans une langue européenne. Ce faisant, on s'intéressait plus aux ouvrages de Vyakarana tardif, ceux de Bhattoji Diksita (XVIIe siècle) et de Nagesa (XVIIIe siècle) notamment parce qu'en Inde les derniers érudits travaillent moins à partir de Panini et Patanjali que de Bhattoji, etc. Nous espérons renouer, avec d'autres, au renouveau des études sur le Mahabhasya, afin à terme de terminer le travail brillamment commencé par P.-S.
Filliozat. La Paspasa tient lieu d'introduction du Mahabhasya ; c'est la seule section où l'auteur parle sans commenter précisément le texte, exprime sa conception de la langue et de la grammaire. Sa moindre technicité permet au lecteur attentif de comprendre les bases de la problématique linguistique sanskrite. La Paspasa est chère aux pandits « érudits » qui souvent la connaissaient par coeur, même s'ils n'étaient pas des grammairiens professionnels. On y voit in nuce tous les problèmes posés ultérieurement par la grande tradition linguistique en Asie du Sud, le tout servi par une langue classique, remarquablement précise, et témoignant d'une insigne intelligence du texte. Et surtout le texte reste compréhensible pour les lecteurs. L'auteur, en plus de la traduction (un travail déjà bien réalisé par ses devanciers) a surtout porté son effort dans les notes pour expliquer le texte, pour en montrer l'épaisseur en terme de culture, et aussi de vie et de conscience.
-
Ecrite et représentée à la fin de la Révolution batave - sans doute en 1798, au lendemain de l'accès des membres de la minorité juive aux Pays-Bas à l'égalité civile -, la comédie Tout est bien qui finit bien, rédigée dans la variante amstellodamoise du yiddish occidental, a été découverte en 1946 par l'érudit hollandais Leo Fuks, spécialiste de la littérature yiddish ancienne des Pays-Bas. Elle illustre la vitalité du théâtre de langue yiddish qui prit naissance aux Pays-Bas dès les premières années du XVIIIème siècle indépendamment de la tradition burlesque du Purimshpil.
L'intrigue est bâtie autour des fourberies dont se rendent coupables des escrocs juifs sans foi ni loi, originaires de Pologne et venus solliciter des secours auprès de la communauté ashkénaze d'Amsterdam sous de faux prétextes. Toutefois, lue au second degré, la pièce met à nu les tensions sociales qui déchirent la communauté juive de la métropole hollandaise, opposant les laissés-pour-compte d'une société inégalitaire aux notables juifs titulaires du "droit de bourgeoisie". Fracture sociale qui se double d'un clivage ethnique entre citadins ashkénazes amstellodamois enracinés et claquedents juifs polonais, immigrés de fraîche date qui n'ont guère d'autres ressources pour survivre que de se réfugier dans la délinquance.
Le présent ouvrage contient la traduction intégrale du texte originel ainsi que la préface rédigée par Leo Fuks pour l'édition yiddish publiée à Paris en 1955. -
Corpus rhetoricum
Anonyme
- Belles Lettres
- Collection Des Universites De France ; Serie Grecque
- 4 Mars 2008
- 9782251005430
Collection bilingue. Publiée sous le patronage de l'Association Guillaume Budé (dont le but est de défendre et promouvoir la culture classique et la culture intellectuelle en général), la Collection des Universités de France, dite "Collection Budé", comprendra tous les textes grecs et latins jusqu'à la moitié du VIe siècle, mis à jour et accompagnés de traductions françaises nouvelles, d'introductions, de notices, de notes et d'un apparat critique.
Les textes font toujours l'objet de recensions nouvelles et personnelles. Ils sont établis d'après les manuscrits reconnus les plus importants et constituent de véritables éditions critiques. Ils comportent un apparat critique bref, dépourvu de considérations inutiles et servant à justifier le texte qui est donné. Grâce à lui, le lecteur peut apprécier la valeur du texte qu'il a sous les yeux et celle des variantes écartées par l'éditeur.
Les traductions s'efforcent d'être à la fois exactes et littéraires. L'Association Guillaume Budé a jugé qu'une oeuvre entière ne pouvait être traduite dans le même esprit qu'une page, qu'il fallait s'efforcer avant tout de reproduire le mouvement, la couleur, le ton du texte antique et qu'il était indispensable de mettre la traduction en regard du texte.
Les introductions réunissent l'ensemble des renseignements nécessaires à la compréhension générale de l'auteur et de l'oeuvre. Les notices étudient les questions de date, de composition, de sources, des différentes parties de l'oeuvre. Les notes, au bas des pages de traduction ou en fin d'ouvrage, fournissent certaines explications historiques. Plusieurs volumes récents comportent même un commentaire plus ou moins développé, selon la nature de l'oeuvre.
Volumes brochés en édition courante, imprimés sur papier teinté de longue conservation fabriqué spécialement pour la collection. Format 13 X 20 cm
(French Universities Collection - Greek Series) Published under the auspices of the Guillaume Budé Association (whose mission is to preserve and promote classical culture in particular, and intellectual culture in general), the "Universités de France" Collection, referred to as the "Budé Collection," will consist of all known Greek and Latin works up to the middle of the sixth century of our era, constantly updated and presented with their most recent French translations, introductions, biographical sketches, notes and a critical apparatus.
These texts will constantly be the subject of new and personal critical reviews. They are edited on the basis of those manuscripts deemed to have been the most influential, which is why they constitute authentic critical editions. Each text features a brief critical apparatus, devoid of any irrelevant material, which substantiates its selection. This information enables the reader to assess not only the value of the text that he or she is reading, but also that of the alternative versions excluded by the publisher.
The translations are intended to be both accurate and literary. The Guillaume Budé Association is of the opinion that the translation of a complete work cannot be approached in the same way as a single page, and that translators should strive, above all else, to reproduce the movement, colour, and tone of the ancient work. They therefore decided that it was essential that each translation be presented alongside the original text.
The various introductions furnish all of the details that the reader needs to form a general understanding of the author and the work. The biographical sketches concern dates, composition, sources, and the various parts of the work. The footnotes on translated pages, or at the end of each book, provide specific historical explanations. Several recent volumes even feature rather copious annotations, depending upon the nature of the work concerned.
All books are available in paperback edition and are printed on durable tinted paper made especially for this collection. -
La physiognomonie, ou art de juger quelqu'un en fonction de son apparence physique, a eu, dans la vie sociale, la littérature et l'art de l'antiquité classique une importance que les textes conservés ne laissent pas assez soupçonner. En effet, le terme, qui fait son apparition dans le traité hippocratique Des Épidémies, est utilisé par Galien, Artémidore et plus tard Suétone. Pythagore lui-même n'admettait ses disciples qu'après leur avoir fait subir un examen physiognomonique et les Empereurs romains s'entouraient de metoposcopi ces hommes qui prétendaient lire les visages. Malheureusement rares sont les textes qui nous ont été préservés, et ce traité, adaptation latine de textes grecs nous est parvenu sans nom d'auteur.Notre édition présente ce riche témoignage d'une science antique méconnue. L'introduction propose une étude détaillée de la physiognomonie depuis ses origines grecques jusqu'à sa fortune dans le théâtre latin. Elle fournit en outre les hypothèses concernant la datation et l'attribution de ce texte, sans doute écrit dans la seconde moitié du IVème siècle. L'histoire de la tradition manuscrite est détaillée et assortie d'un stemma. Des notes accompagnent la lecture et sont développées par des notes complémentaires. L'ouvrage est en outre enrichi par un index nominum et un index analytique.
-
Rhétorique à Herennius
Anonyme
- Belles Lettres
- Collection Des Universites De France ; Serie Latine
- 20 Octobre 1989
- 9782251013466
Le devoir de l'orateur est de pouvoir parler sur toutes les questions de l'ordre civil qui sont réglées par les coutumes ou par les lois, en se conciliant, autant qu'il est possible, l'assentiment des auditeurs.
Il y a trois genres de causes que l'orateur doit embrasser, le démonstratif, le délibératif et le judiciaire. Le démonstratif est consacré à louer ou à blâmer une personne déterminée ; le délibératif, qui suppose une consultation, a pour but de conseiller ou de dissuader ; le judiciaire, qui repose sur une controverse, renferme l'accusation ou l'attaque, et la défense. Nous allons indiquer à présent les conditions indispensables pour être orateur.
Nous montrerons ensuite comment il faut traiter ces trois genres de causes.
-
Res gestae divi augusti ; hauts faits du divin auguste
Anonyme
- Belles Lettres
- 26 Mai 2007
- 9782251014463
Quelques jours après la mort d'Auguste, on fit porter dans la curie quatre rouleaux scellés qu'Auguste avait déposés, d'après Suétone, auprès des Vestales. Le premier contenait son testament privé, le deuxième donnait les ordres relatifs à ses funérailles, tandis que le troisième développait la situation dans laquelle il avait laissé l'Empire. Sur le quatrième se trouvaient les Res Gestae qui rappelaient tout ce que l'empereur avait fait pour le peuple romain. Auguste souhaitait que ses Res Gestae soient gravées sur deux stèles de bronze à proximité de son mausolée. Rien n'est moins sûr car les deux inscriptions de Rome ont disparu et seules ont été conservées des copies envoyées dans les Provinces d'Asie Mineure. Auguste y relate ses exploits quand il s'appelait encore Octave, comment à 19 ans à peine il leva une armée et eut raison de Marc-Antoine, comment il étendit la puissance romaine, et « restaura la République » en devenant empereur. Malgré le style aride et factuel imposé par l'inscription, les Res Gestae sont pour nous un document précieux, tant par les informations historiques qui y sont contenues que par le portrait que le grand homme peint de lui-même. Notre édition présente en un volume les Res Gestae divi Augusti ou Hauts Faits du divin Auguste et propose outre le texte latin et sa traduction, la version grecque figurant dans les copies d'Ankara, d'Antioche et d'Apollonia. L'introduction, véritable somme issue des recherches de John Scheid offre toutes les informations nécessaires à la bonne intelligence du texte ainsi qu'un exposé complet des diverses interprétations et discussions auxquelles il a donné lieu. Elle est en outre assortie d'un plan permettant de circuler aisément dans le récit, ainsi que d'une bibliographie. Un riche commentaire, en fin de volume, éclaire le texte. L'ouvrage est enrichi d'un Index des mots latins, d'un Index des mots grecs ainsi que d'illustrations.
-
L'Italie sous Odoacre et Théodoric
Anonyme De Valois Ii
- Belles Lettres
- Collection Des Universites De France ; Serie Latine
- 27 Février 2020
- 9782251014869
L'Anonyme de Valois consiste en la réunion de deux séries d'extraits d'oeuvres historiques. La première série contient une biographie de Constantin (Origo Constantini imperatoris). La seconde (Anonyme de Valois II), objet de la présente édition, traite de l'histoire de l'Italie durant la période 474-526. Pour plus de clarté, les éditeurs ont ajouté un sous-titre : L'Italie sous Odoacre et Théodoric.
Après le récit de la fin de l'Empire d'Occident, du règne d'Odoacre et de la guerre ayant opposé ce dernier à Théodoric, l'Anonyme de Valois II consacre l'essentiel de ses développements au règne du roi goth. À une longue période de paix et de prospérité (493-523) il oppose les trois dernières années tragiques du règne (523-526). Parmi les sources disponibles sur cette période de l'histoire de l'Italie, l'Anonyme est la plus complète. Il contient par exemple les informations les plus précises sur la déposition de Romulus Augustule, la visite de Théodoric à Rome en 500, le procès et la mort de Boèce. Le texte est entrecoupé par le récit d'événements survenus dans l'Empire d'Orient. Il est composé à partir de sources latines, mais aussi grecques, du 6e siècle, qui sont en grande partie perdues. Il est écrit dans une langue éloignée du latin classique, et est souvent d'interprétation difficile.
Dans l'introduction, la question des sources est très largement traitée. Les éditeurs estiment que l'Anonyme est une collection d'extraits d'une oeuvre unique utilisant des sources diverses (Consularia Italica, Cassiodore, auteurs grecs). Ils pensent, arguments à l'appui, qu'il pourrait s'agir des Chroniques perdues de l'archevêque de Ravenne Maximien (546/7-556), un proche de Justinien. Le commentaire est suivi par cinq annexes. L'une d'entre elles contient un texte inédit de Giovanni de Matociis (début du 14e siècle) sur le procès et la mort de Boèce.
-
Les alchimistes grecs
Anonyme De Zuretti/
- Belles Lettres
- Collection Des Universites De France
- 24 Mai 2000
- 9782251004785
Sous la direction de H.D. Saffrey. Texte établi et traduit par A. Colinet. CXVI-804 p. Index. (2000) 2e tirage 2002.
[G 398] 2-251-00478-5 83 Euros