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Hiroshige & Eisen : The Sixty-Nine Stations along the Kisokaido
Rhiannon Paget
- Taschen
- 40
- 7 Février 2024
- 9783836594875
La route de la Kisokaid? à travers le Japon fut tracée sur l'ordre de Tokugawa Ieyasu, qui dirigea le pays au début du XVIIe siècle et décréta que des relais soient installés tout le long de cette piste accidentée qui reliait Edo (l'actuelle Tokyo) et Kyoto. Auberges, échoppes et restaurants y furent construits pour prodiguer nourriture et logis aux voyageurs fatigués. En 1835, le célèbre estampiste Keisai Eisen reçoit la commande d'une série d'oeuvres qui décriront les étapes successives de l'itinéraire de la Kisokaid?. Après avoir réalisé 24 estampes, Eisen est remplacé par Utagawa Hiroshige, qui complète la série avec 70 estampes en 1838.
Eisen et Hiroshige étaient tous deux des maîtres de l'estampe. Les Soixante-neuf Stations de la Kisokaid? révèlent à la fois les styles distincts et le savoir-faire commun des deux artistes. Du point de départ animé de Nihonbashi à la ville d'Iwamurata et son château, Eisen opte pour une palette aux tonalités atténuées, mais excelle dans la représentation figurative, en particulier des femmes élégantes, et se délecte des instantanés de vie qu'il saisit le long de la route - du ferrage d'un cheval au vannage du riz. Hiroshige démontre sa maîtrise du paysage avec des scènes grandioses et évocatrices, des rives paisibles du fleuve Ota à l'impressionnant col de Wada et à l'ascension de Yawata à Mochizuki au clair de lune.
L'ensemble de la série des Soixante-neuf Stations représente non seulement un chef-d'oeuvre de l'estampe, avec des compositions audacieuses et un recours expérimental à la couleur, mais aussi une fresque envoûtante du Japon au XIXe siècle, bien avant le spectre de l'industrialisation. Cette nouvelle édition TASCHEN est composé à partir d'un des exemplaires les mieux conservés de leur première édition etredonne vie à ce recueil. -
On se souvient du portrait de l'écrivain naturaliste Émile Zola assis parmi ses japonaiseries signé Édouard Manet et des copies méticuleuses que Van Gogh réalisa des estampes d'Hiroshige, qu'il collectionnait avec dévotion. Au XIXe siècle les pionniers du modernisme européen ne font pas mystère de leur amour pour l'art japonais. Sensuelle, libre et vibrante, l'estampe aurait été, à elle seule, à l'origine de la vague japoniste qui submergea d'abord la France, puis toute l'Europe - souvent sous la forme d'objets d'art mal compris, réduits à leur caractère «exotique», qui nourrissent alors l'art occidental.
Car l'estampe japonaise est un phénomène sans équivalent en Occident. Certaines des idées qui ont le plus vigoureusement secoué l'art moderne - dont celle, comme l'a dit Karl Marx, que «tout ce qui est solide se volatilise» - sont nées au Japon dans les premières heures du XVIIIe siècle et se sont exprimées avec une force inédite dans les oeuvres de maîtres comme Hokusai, Utamaro et Hiroshige au début du XIXe.
Ce recueil, dérivé de la monographie format XXL originale, lève le voile sur une forme d'art très appréciée mais incomprise en présentant les estampes japonaises les plus exceptionnelles dans leur contexte historique. Depuis l'essor, au XVIIe siècle, du décadent ukiyo-e, «image du monde flottant», jusqu'au déclin et à la résurgence tardive de cet art au début du XXe siècle, les reproductions rassemblées dans cette édition composent un témoignage sans égal non seulement sur un genre unique dans l'histoire de l'art, mais aussi sur l'évolution des moeurs et de la culture au Japon.
Montagnes mystiques ou cols enneigés, samouraïs en armures ou travailleuses du sexe mises en vitrine, chaque planche est abordée comme une oeuvre à part entière qui raconte les histoires et les gens qui se dessinent dans ces motifs. On découvre ainsi les quatre piliers de l'estampe - beautés, acteurs, paysages et compositions de fleurs et d'oiseaux - qui côtoient des représentations de lutteurs sumo, d'acteurs de kabuki et d'envoûtantes courtisanes, ces vedettes du «monde flottant» dont les fans inlassables favorisent la production frénétique d'estampes. On plonge aussi dans un univers plus sombre et inquiétant grâce à des estampes où des démons, spectres, mangeurs d'hommes et autres créatures imaginaires tourmentent les vivants dans des scènes saisissantes qui inspirent encore aujourd'hui le manga, le cinéma et les jeux vidéo japonais. On comprend ainsi comment ces oeuvres d'une diversité incroyable, scènes quotidiennes ou érotiques, tantôt martiales, tantôt mythologiques, ont en partage la maîtrise technique et l'oeil infaillible de leurs auteurs, ainsi que la prodigieuse ingéniosité et l'ironie avec lesquelles éditeurs et artistes se sont défendus contre la censure officielle. Fruit de trois années de travail, cette édition au format XXL rassemble des reproductions des plus belles estampes parvenues jusqu'à nous, conservées sous les voûtes des musées et dans des collections privées du monde entier - dont un grand nombre ont été photographiées à nouveau pour ce projet. Dix-sept pages dépliantes invitent à étudier les plus infimes détails, tandis que des descriptions fouillées nous guident dans cette période effervescente de l'histoire de l'art japonais.
Cette édition, qui fait partie de notre collection spéciale 40e anniversaire, rassemble les plus belles reproductions parvenues jusqu'à nous, conservées dans divers musées et collections privées de par le monde, dans un format léger, à un prix abordable et enrichi de descriptions détaillées qui nous guident à travers cette période effervescente de l'histoire de l'art japonaise. -
Des merveilles gravées sur bois.
Une histoire illustrée des chefs-d'oeuvre japonais.
On se souvient du portrait de l'écrivain naturaliste Émile Zola assis parmi ses japonaiseries signé Édouard Manet et des copies méticuleuses que Van Gogh réalisa des estampes d'Hiroshige, qu'il collectionnait avec dévotion. Au XIXe siècle les pionniers du modernisme européen ne font pas mystère de leur amour pour l'art japonais. Sensuelle, libre et vibrante, l'estampe aurait été, à elle seule, à l'origine de la vague japoniste qui submergea d'abord la France, puis toute l'Europe - souvent sous la forme d'objets d'art mal compris, réduits à leur caractère «exotique», qui nourrissent alors l'art occidental.
Car l'estampe japonaise est un phénomène sans équivalent en Occident. Certaines des idées qui ont le plus vigoureusement secoué l'art moderne - dont celle, comme l'a dit Karl Marx, que «tout ce qui est solide se volatilise» - sont nées au Japon dans les premières heures du XVIIIe siècle et se sont exprimées avec une force inédite dans les oeuvres de maîtres comme Hokusai, Utamaro et Hiroshige au début du XIXe.
Ce recueil lève le voile sur une forme d'art très appréciée mais incomprise en présentant les estampes japonaises les plus exceptionnelles dans leur contexte historique. Depuis l'essor, au XVIIe siècle, du décadent ukiyo-e, «image du monde flottant», jusqu'au déclin et à la résurgence tardive de cet art au début du XXe siècle, les reproductions rassemblées dans cette édition composent un témoignage sans égal non seulement sur un genre unique dans l'histoire de l'art, mais aussi sur l'évolution des moeurs et de la culture au Japon.
Montagnes mystiques ou cols enneigés, samouraïs en armures ou travailleuses du sexe mises en vitrine, chaque planche est abordée comme une oeuvre à part entière qui raconte les histoires et les gens qui se dessinent dans ces motifs. On découvre ainsi les quatre piliers de l'estampe - beautés, acteurs, paysages et compositions de fleurs et d'oiseaux - qui côtoient des représentations de lutteurs sumo, d'acteurs de kabuki et d'envoûtantes courtisanes, ces vedettes du «monde flottant» dont les fans inlassables favorisent la production frénétique d'estampes. On plonge aussi dans un univers plus sombre et inquiétant grâce à des estampes où des démons, spectres, mangeurs d'hommes et autres créatures imaginaires tourmentent les vivants dans des scènes saisissantes qui inspirent encore aujourd'hui le manga, le cinéma et les jeux vidéo japonais. On comprend ainsi comment ces oeuvres d'une diversité incroyable, scènes quotidiennes ou érotiques, tantôt martiales, tantôt mythologiques, ont en partage la maîtrise technique et l'oeil infaillible de leurs auteurs, ainsi que la prodigieuse ingéniosité et l'ironie avec lesquelles éditeurs et artistes se sont défendus contre la censure officielle.
Cette édition, dérivé de la monographie format XXL originale, rassemble les plus belles reproductions parvenues jusqu'à nous, conservées dans divers musées et collections privées de par le monde, dans un format léger, à un prix abordable et enrichi de descriptions détaillées qui nous guident à travers cette période effervescente de l'histoire de l'art japonaise. -
L'art de la gravure en bois de Maître Hokusai.
La série complète desVues du mont Fuji.
Le mont Fuji a longtemps été au centre de l'imaginaire culturel japonais, et aucune oeuvre n'a saisi ce monument avec plus de virtuosité que la célèbre série d'estampes sur bois des Trentes-six vues du mont Fuji par Katsushika Hokusai (1760-1849). L'artiste renommé témoigne du Japon du XIXe siècle avec une maîtrise artistique et une révérence exceptionnelles, célébrant la campagne, les villes, les gens et la beauté paisible de la nature. Réalisée au sommet de l'ambition artistique de Hokusai, cette série représente la quintessence de l'ukiyo-e et a valu à son auteur une reconnaissance mondiale comme maître éminent de son art.
Les estampes illustrent l'obsession de Hokusai pour le mont Fuji ainsi que le tourisme domestique en plein essor à la fin de période d'Edo. À l'image de ce sommet qui était le point de mire préféré des voyageurs en chemin la capitale Edo (aujourd'hui Tokyo) le long de la route Tokaido, le mont Fuji forme l'arrière-plan incontournable de chaque scène de la série. Hokusai immortalise le paysage particulier et le charme provincial de chaque endroit dans des teintes vibrantes et avec une minutie exquise des détails. Comprenant l'emblématique vue Sous la grande vague au large de la côte de Kanagawa (alias La Grande Vague), cette série largement reconnue est un trésor de l'histoire de l'art universel.
Parmi les quelques rééditions complètes de la série, cet ouvrage au format XXL rend hommage aux couleurs et aux compositions fascinantes de Hokusai reproduites avec un soin et une ampleur inégalés. Relié selon la tradition japonaise avec du papier non coupé, les Trente-six vues du mont Fuji présentent les 36 estampes et les 10 ajoutées plus tard par l'artiste. Complément idéal aux Cent vues d'Edo et aux Soixante-neuf stations de la route Kisokaido, cette publication dépeint une image envoûtante du Japon préindustriel et est en soi un monument exceptionnel de l'art de l'estampe. -
Hokusai le Grand.
L'artiste japonais le plus réputé de l'époque d'Edo, comme vous ne l'avez jamais vu.
La légende veut que Hokusai ait peint sa première image à six ans; ses oeuvres destinées à des livres illustrés furent publiées à titre posthume, un an après sa mort à l'âge de 89 ans. Cet ouvrage retrace la longue et prolifique carrière de l'artiste, au gré de ses phases créatives successives: des portraits d'acteurs par lesquels Hokusai débuta jusqu'au 1.300 oeuvres qu'il réalisa les dernières années de sa vie sous le nom de Manji.
Grâce à la reproduction de 746 estampes, peintures et illustrations, beaucoup si détaillées qu'on en perçoit le grain, cet ouvrage est, de loin, la publication la plus complète sur celui qui est peut-être l'artiste le plus célèbre du Japon. L'attrait exercé par cette figure majeure de l'époque d'Edo ne se dément pas: en mars 2023, une version de sa fameuse estampe La grande Vague de Kanagawa, extraite de sa série Trente-six vues du mont Fuji, a été adjugé 2,64 millions d'euros.
Bien au-delà de la Grande Vague, cette monographie scrute des oeuvres familières et moins connues, rarement publiées. Intitulée oeuvres (presque) complètes de Hokusai, elle expose une variété inégalée de sujets et de techniques: panorama des Chutes de Kirifuri, cartes en grand format des routes de Tokaido et de Kisokaido ou de la péninsule de Boso Peninsula, grandes illustrations destinées à divers livres; érotisme sensuel et créatif (shunga) et manuels de dessin comme le Manga Hokusai en quinze tomes; et puis quelques animaux, de sa série d'estampes sur les oiseaux et les fleurs à ses rouleaux ultérieurs où des canards s'ébattent dans l'eau vive et où un tigre semble suspendu dans la neige.
Fruit d'un vaste travail de reproduction photographique, ce livre remonte à la source d'oeuvres conservées par plus de 100 institutions dans le monde, parmi lesquelles des musées et des collections en Europe, aux Etats-Unis et au Japon, comme le sanctuaire de Hiei à Kisarazu, où un panneau peint représentant une chasse au sanglier au pied du mont Fuji a été rephotographiée pour cette édition.
Les textes d'Andreas Marks placent les oeuvres de Hokusai dans leur contexte historique et s'intéressent à son influence sur les artistes occidentaux comme Degas et Gauguin, bien qu'il n'ait jamais quitté le Japon. Combinant des recherches rigoureuses sur l'authenticité des oeuvres présentées et des reproductions en très grand format, notamment quatre pages dépliantes, oeuvres (presque) complètes de Hokusai est à la fois un pélerinage visuel dans le Japon de la période d'Edo et une monographie qui fera date et référence. -
On se souvient du portrait de l'écrivain naturaliste Émile Zola assis parmi ses japonaiseries signé Édouard Manet et des copies méticuleuses que Van Gogh réalisa des estampes d'Hiroshige, qu'il collectionnait avec dévotion. Il est clair qu'au XIXe siècle les pionniers du modernisme européen ne font pas mystère de leur amour pour l'art japonais. Sensuelle, libre et vibrante, l'estampe aurait été, à elle seule, à l'origine de la vague japoniste qui submergea d'abord la France, puis toute l'Europe - souvent sous la forme d'objets d'art mal compris, réduits à leur caractère «exotique», qui nourrissent alors l'art occidental.
Car l'estampe japonaise est un phénomène sans équivalent en Occident. Certaines des idées qui ont le plus vigoureusement secoué l'art moderne - dont celle, comme l'a dit Karl Marx, que «tout ce qui est solide se volatilise» - sont nées au Japon dans les premières heures du XVIIIe siècle et se sont exprimées avec une force inédite dans les oeuvres de maîtres comme Hokusai, Utamaro et Hiroshige au début du XIXe.
Ce recueil lève le voile sur une forme d'art très appréciée mais incomprise en présentant les 200 estampes japonaises les plus exceptionnelles dans leur contexte historique. Depuis l'essor, au XVIIe siècle, du décadent ukiyo-e, «image du monde flottant», jusqu'au déclin et à la résurgence tardive de cet art au début du XXe siècle, les reproductions rassemblées dans cette édition composent un témoignage sans égal non seulement sur un genre unique dans l'histoire de l'art, mais aussi sur l'évolution des moeurs et de la culture au Japon.
Montagnes mystiques ou cols enneigés, samouraïs en armures ou travailleuses du sexe mises en vitrine, chaque planche est abordée comme une oeuvre à part entière qui raconte les histoires et les gens qui se dessinent dans ces motifs. On découvre ainsi les quatre piliers de l'estampe - beautés, acteurs, paysages et compositions de fleurs et d'oiseaux - qui côtoient des représentations de lutteurs sumo, d'acteurs de kabuki et d'envoûtantes courtisanes, ces vedettes du «monde flottant» dont les fans inlassables favorisent la production frénétique d'estampes. On plonge aussi dans un univers plus sombre et inquiétant grâce à des estampes où des démons, spectres, mangeurs d'hommes et autres créatures imaginaires tourmentent les vivants dans des scènes saisissantes qui inspirent encore aujourd'hui le manga, le cinéma et les jeux vidéo japonais. On comprend ainsi comment ces oeuvres d'une diversité incroyable, scènes quotidiennes ou érotiques, tantôt martiales, tantôt mythologiques, ont en partage la maîtrise technique et l'oeil infaillible de leurs auteurs, ainsi que la prodigieuse ingéniosité et l'ironie avec lesquelles éditeurs et artistes se sont défendus contre la censure officielle.
Fruit de trois années de travail, cette édition au format XXL rassemble des reproductions des plus belles estampes parvenues jusqu'à nous, conservées sous les voûtes des musées et dans des collections privées du monde entier - dont un grand nombre ont été photographiées à nouveau pour ce projet. Dix-sept pages dépliantes invitent à étudier les plus infimes détails, tandis que des descriptions fouillées nous guident dans cette période effervescente de l'histoire de l'art japonais.
Inclut:
les oeuvres de 89 artistes, mondialement célèbres ou peu connus
7 chapitres organisés chronologiquement pour retracer l'histoire de cette discipline de 1680 à 1938
17 pages dépliantes, pliées à la main en raison de leur taille et de leurs spécificités
des reproductions exclusives réalisées dans des musées ou collections privées
des annexes recensant tous les artistes et toutes les oeuvres. -
Hiroshige & Eisen ; les soixante-neuf stations de la route Kisokaido
Rhiannon Paget
- Taschen
- Xl
- 20 Septembre 2017
- 9783836539388
La route de la Kisokaid? à travers le Japon fut tracée sur l'ordre de Tokugawa Ieyasu, qui dirigea le pays au début du XVIIe siècle et décréta que des relais soient installés tout le long de cette piste accidentée qui reliait Edo (l'actuelle Tokyo) et Kyoto. Auberges, échoppes et restaurants y furent construits pour prodiguer nourriture et logis aux voyageurs fatigués. En 1835, le célèbre estampiste Keisai Eisen reçoit la commande d'une série d'oeuvres qui décriront les étapes successives de l'itinéraire de la Kisokaid?. Après avoir réalisé 24 estampes, Eisen est remplacé par Utagawa Hiroshige, qui complète la série avec 70 estampes en 1838.Eisen et Hiroshige étaient tous deux des maîtres de l'estampe. Les Soixante-neuf Stations de la Kisokaid? révèlent à la fois les styles distincts et le savoir-faire commun des deux artistes. Du point de départ animé de Nihonbashi à la ville d'Iwamurata et son château, Eisen opte pour une palette aux tonalités atténuées, mais excelle dans la représentation figurative, en particulier des femmes élégantes, et se délecte des instantanés de vie qu'il saisit le long de la route - du ferrage d'un cheval au vannage du riz. Hiroshige démontre sa maîtrise du paysage avec des scènes grandioses et évocatrices, des rives paisibles du fleuve Ota à l'impressionnant col de Wada et à l'ascension de Yawata à Mochizuki au clair de lune.
L'ensemble de la série des Soixante-neuf Stations représente non seulement un chef-d'oeuvre de l'estampe, avec des compositions audacieuses et un recours expérimental à la couleur, mais aussi une fresque envoûtante du Japon au XIXe siècle, bien avant le spectre de l'industrialisation. Cette nouvelle édition XXL de TASCHEN redonne vie à ce recueil dans un format adapté à sa splendeur. Composé à partir d'un des exemplaires les mieux conservés de leur première édition, l'ouvrage, relié selon la tradition japonaise et imprimé sur un papier non coupé, restitue cette oeuvre légendaire dans une qualité de reproduction optimale. Parfait complément aux Cent vues célèbres d'Edo, également publié par TASCHEN, il est un régal pour les yeux et un objet de première importance témoignant du lointain passé du Japon impérial. -
Des études anatomiques aux plans architecturaux, des conceptions techniques complexes aux portraits d'enfants potelés : découvrez la finesse délicate de l'un des esprits et des mains les plus talentueux de l'histoire.