Au départ, il y a un lutin qui hurle « Vous avez niqué la fantasy ! » alors qu'il retient en otage plusieurs personnes dans une bibliothèque. Et puis il y a le coup d'un soir d'Olga qui se met à déconner et à foutre le feu à son appartement, avant d'aller brouter les pissenlits par la racine. Et il y a aussi les trois punks Jex, Skrook et Pils qui doivent jouer au Festival du Gouffre tandis qu'il se passe de drôles de trucs dans la forêt d'à côté.
Karim Berrouka, auteur du Club des Punks contre l'apocalypse zombie (prix Julia Verlanger) revient avec Le jour où l'humanité a niqué la fantasy. Membre émérite de la World Grouilleux Academy of Fariboles et professeur de fantasy appliquée à Normal Sub, livre ici un récit autobiographique indispensable pour la compréhension de l'univers et le salut de l'humanité.
Il y a des nains furieux qu'on leur ait dérobé leur or, Jack qui n'est pas très pressé de monter à son haricot, Cloclo qui se réincarne dans le métro et des jeunes filles habillées de blanc qui hantent les routes la nuit...
Mais il y aussi des enquêtes glauques et angoissantes, l'enfer des combats à Falloujah et des ombres qui, chaque soir, dansent pour leur public.
Entre fantasy et fantastique, Karim Berrouka nous propose un livre où le rire se mélange à l'effroi. Des délires les plus fous aux atmosphères les plus sombres, peut-être bien, au fond que les ballons dirigeables rêvent parfois de poupées gonflables...
Contient en bonus dix nouvelles de plus par rapport à l'original
Les zombies ont envahi Paris. Un groupe de punks décide de profiter de la situation pour faire flotter le drapeau anarchiste sur la tour Eiffel. Mais, dans l'ombre, des rescapés du Medef ourdissent également un plan infernal. Mêlant univers punk et humour, ce roman post-apocalyptique, ode à l'anarchie et à l'amitié, aborde aussi des questions de société.
À ma gauche, cinq sectes toutes plus barrées les unes que les autres (parmi lesquelles les hommes-poissons d'Innsmouth ou les peudo-scientifiques de Jésus-Higgs Dieu-Boson Yog-Sothoth). À ma droite : Ingrid, une jeune fille bien sous tous rapports (ou pas) que les premiers poursuivent de leurs assiduités dans le but de la voir prendre place au centre d'un pentacle dont dépend le retour de quelques grands anciens. Et au milieu, un dieu monstrueux des profondeurs à l'orthographe compliquée qui n'en demandait pas tant...
Qui est cette drôlesse qui débarque un beau jour dans le bureau de Marc-Aurèle Abdaloff et lui demande de localiser une fille, sans autre indice qu'"un sourire malicieux"? Retrouver les gens, c'est sa spécialité, mais là, c'est un peu maigre. Et il n'est pas au bout de ses surprises : la péronnelle en fuite semble avoir le double talent de se promener dans le temps et de foutre le bordel partout où elle passe.
Sauf qu'à trop fouiller dans les arcanes du passé et de la féerie, on finit par mettre le doigt sur une conspiration qui dépasse de loin les compétences d'un détective privé... et même celles d'une fée !
Un nain tout de métal bardé errant dans le désert, deux Loups-Garous philosophes - et une légère crise de foi -, trois femmes belles et mystérieuses, une horde de barbares à l'humour barbare et aux manières barbares, vingt-quatre cadavres presque morts et une pénurie d'allumettes.
Et bien sûr, une porte. Ouverte ou fermée, grattée, toquée ou explosée, de chêne (massif, renforcé de fer forgé) ou de frêle bouleau, elle est le pivot grinçant de ce petit conte férocement dégondé.
Marc-Aurèle Abdaloff et Premier de la Classe sont sur une nouvelle affaire : envoyés dans les monts d'Arrée, ils doivent enquêter sur de curieux meurtres perpétrés à l'épée par un homme accompagné d'une armée d'écureuils sanguinaires. "Pourquoi dans les grands bois, aimé-je à m'égarer" se déroule dans l'univers de Fées, weed & guillotines de Karim Berrouka.
Karim Berrouka, l'auteur du Club des punks contre l'apocalypse zombie, nous offre une nouvelle déjantée dans l'univers de Mythe de Cthulhu - avec une licorne dedans.
De quoi vous donnez un avant-goût de son roman Celle qui n'avait pas peur de Cthulhu (Éditions ActuSF) où il nous propose sa vision décalée de l'univers créé par H.P. Lovecraft.
Lorsque Marine met au monde son petit garçon, celui-ci est rouge. Mais vraiment rouge ! Et cette particularité va faire son cauchemar. Nombreux sont ceux qui voudront le disséquer, en faire un messie, un produit marketing ou un antéchrist à détruire...
"L'Enfant rouge" est la première nouvelle d'un recueil qui déborde d'idées toutes plus folles les unes que les autres.
Karim Berrouka convoque des cauchemars, des fantômes, des monstres et pire que tout, des hommes, pour nous faire rire, parfois jaune. Une nouvelle preuve de son talent...
Qui est Madame Patterson ? Pourquoi survit-elle à tous les naufrages ? Les hommes peuvent-ils se réconcilier avec le monde de la féerie ?
Théâtres de cendres est un recueil sombre entre fantastique et fantasy, de Karim Berrouka, auteur des Ballons dirigeables rêvent-ils de poupées gonflables ?